Pokemon Mhyone
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 Les yeux vides

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2 participants
AuteurMessage
Sei Fujiwara

Sei Fujiwara


Région d'origine : Kanto
Messages : 1

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MessageSujet: Les yeux vides   Les yeux vides EmptySam 2 Sep 2017 - 1:17

Sei Fujiwara




Surnom : Baku
Espèce : Hoothoot
Nature : Bizarre
Détails : Insomniaque comme sa dresseuse, Baku est un pokémon névrosé et hostile avec les individus et pokémons qu’il ne connaît pas. Il se fait beaucoup de souci pour Sei, mais s’efforce de ne pas s’opposer à ses décisions. Il lui fait entièrement confiance, et est prêt à se sacrifier pour elle. C’est également un spécialiste des techniques de sommeil, en particulier Hypnose

identité
irl


Nom : Fujiwara
Prénom : Sei
Âge : 30
Région d'origine : Kanto (Safrania)
Groupe du Poryweb : Sceau de l’Ossatueur
Archétype : combattant
Feat :

Surnom : Hogarus
Âge : 22
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Autre chose ?
Je suis pas comme mon perso. Je mords même pas. J'aime le jdr et les persos tordus

psychologie & physique

Sei Fujiwara est une personne déséquilibrée. La maladie dévastatrice et mortelle dont elle est atteinte et qui la prive de repos l’a transformée. Entièrement insomniaque, elle est sujette à de fortes migraines et à des crises de dismorphophobie. Si elle s’efforce de ne pas sombrer, elle est en proie à des attaques de plus en plus nombreuses et violentes, qui la laissent souvent au bord de limbes cauchemardesques. Fragilisée, instable, elle est aussi victime d’hallucinations et de pertes de repères. Sa seule boussole est son fidèle Hoothoot, qui la plonge régulièrement dans un état d’inconscience en guise de sommeil pour lui permettre de récupérer. Malgré tout, elle n’a pas abandonné, et fait tout le nécessaire pour armer son corps contre la marche inéluctable du mal qui la ronge. Elle lutte contre la perte de poids et l’apathie avec un régime draconien et un effort physique spartiate, qui ne lui permettent malgré tout qu’à peine de se maintenir à une masse normale.
Sa maladie l’a rendue paranoïaque et à fleur de peau, mais ses déboires passées lui ont appris au prix fort à se contrôler de la même manière qu’elle impose à son corps de tenir le coup. Elle est devenue complètement insensibilisée à la douleur des autres, qu’elle voit comme une fraction de la sienne. Sans empathie, cruelle parce que souffrante, elle cède parfois même dans des épisodes de colère et de sadisme, qu’elle regrette « intellectuellement », mais dont elle n’a plus de conscience affective.
Elle n’est cependant pas sans émotion, et tombe parfois dans des épisodes maniaques et hystériques, qui peuvent être vus comme une forme d’euphorie. La seule chose qui fonctionne à peu près correctement dans son cerveau est son obsession dévorante de trouver un remède à sa condition, structurant sa pensée et ses actions.
Son insomnie totale lui laisse beaucoup de temps pour ses recherches, et elle est toujours une scientifique de haut niveau, à l’intellect acéré et aux déductions rapides, parvenant à faire abstraction dans son travail de sa pathologie. Elle parvient tant bien que mal à maintenir des relations fonctionnelles avec son entourage, et, les jours où ça va bien, tenir des discussions. Elle prend aussi grand soin de son cher Baku, seul être qui compte encore à ses yeux et la seule chose justifiant sa survie à un stade aussi avancé de sa maladie.
Avec les gens qu’elle n’a pas besoin de voir, elle est froide et distante, et elle devient vite agressive avec ceux qui s’approcheraient ou feraient montre de trop de sollicitude. Toutefois, si elle a un peu bu ou abusé de ses calmants, elle devient plus cordiale, parfois même aimable ou enjouée. Elle paiera par contre d’un état déplorable et douloureux de tels écarts de comportement.
La jeune Sei était curieuse et cultivée, et cette partie d’elle n’a pas totalement disparu. Elle a soif de connaissance, et s’intéresse très vite à ce qu’elle ne connait pas, dépassant sa propre réserve si son attention a été attirée par quelque chose de neuf.
Sei est également mélomane, en tout cas quand elle n’est pas écrasée de migraines, et passe un temps incompressible de ses journées à écouter de la musique et méditer, coupant le monde extérieur entièrement, à tenter de chercher ses marques dans un cerveau à la dérive. Ces séances de réflexion forcée lui apportent régulièrement des solutions aux problèmes sur lesquels elle travaille.
Les épisodes de crise peuvent toutefois la laisser avec des trous de mémoire complets, la plongeant dans une amertume et une tristesse honteuse.
Elle est malgré sa maigreur extrêmement athlétique, et l’absence de graisse en excès lui confère une silhouette masculine encore renforcée par sa haute taille. Son visage seul conserve la douce beauté féminine qu’elle avait avant le début de ses symptômes, visage maintenant creusé de cernes noirs d’encre, entourant une paire d’yeux hagards et désorientés. Ses cheveux sont sombres et mi longs, souvent attachés. Pour s’épargner le tracas de choisir, elle n’a dans sa garde-robe que des copies des mêmes vêtements, blouse blanche de chercheur, jean gris, bottes de pokéquitation –elle en a appris la technique médiévale avec son père historien et la pratique dès que l’occasion se présente- et pull-over noir à col montant ou court selon la température. Elle porte si besoin une tenue de soirée qui lui irait sans doute bien mieux si elle n’avait pas les épaules carrées et ciselées et la poitrine musclée à en devenir inexistante. Quand elle déplace son Hoothoot, elle porte un gant de cuir de dresseur de rapace.


Les yeux vides


Sei Fujiwara est issue d’une famille scientifique liée à la Sylph SARL de Kanto, et a baigné pendant sa jeunesse dans une ambiance studieuse et sérieuse, mais pas dépourvue de fantaisie. Son père, Kalossien historien et enthousiaste, lui a communiqué une passion des anciens mythes régionaux, tout autant que sa mère biologiste lui a transmis une grande curiosité des Pokémons, qu’elle a appris à chérir pendant sa jeunesse. Elle reçoit très jeune un Hoothoot, Baku, descendant du Noarfang de son père, qui entre autres choses lui apprendra la chasse rapace, et l’introduira très jeunes aux arts martiaux médiévaux de Kalos. La jeune Sei était une fille musclée et grande pour une native de Kanto, dominant ses camarades même hommes d’une tête. Très sportive, elle pratique régulièrement les arts médiévaux pour se maintenir en forme, et s’est spécialisée dans le domaine de son père, le maniement de la masse d’arme, renforçant son caractère masculin et imposant. Très vite, elle s’aliène les jeunes de son âge, qui la trouvent étrange et déconnectée de son temps et de la réalité. Si elle est très soutenue par ses deux jeunes parents, elle n’en passe pas moins une enfance solitaire et morne en dehors de ses deux passions, chasser avec son Pokémon et s’entraîner avec son père. Soutenue par un ami de la famille, elle entre dans l’académie privée de la Sylphe, et commence des études scientifiques sur les poképathologies, se sentant parfois plus proche des pokémons que des humains. Concentrée et travailleuse, elle apprend beaucoup de sa mère et de ses professeurs, qui la soutiennent et la portent vite vers un très bon poste d’entrée dans la Sylphe. En parallèle, la jeune femme soutient une thèse sur le Pokérus et ses possibles souches nocives, et reçoit le titre de docteur au jeune âge de 26 ans.
Cependant, son père développe alors des symptômes d’une rare maladie, le rendant insomniaque. Il tombe progressivement dans une folie hallucinée, irritable et déconnecté de ses proches. Malgré les nombreuses tentatives de traitements des symptômes, le mal est incurable, et le foyer auparavant heureux glisse dans une dépression fataliste. Sei elle-même, n’acceptant pas de se résigner, travaille d’arrache-pied avec ses collègues spécialistes des pathologies humaines, et cherche toutes les documentations connues sur le mal, qui semble particulièrement rare. Sa mère, brisée, se jette dans la foi religieuse en Crésselia, avatar de la lune et des songes, pour implorer la guérison de son compagnon, quittant finalement son poste de chercheuse à la Sylphe après de graves erreurs de manipulation. Sei se fâchera alors avec elle, lui reprochant son irrationalité et sa faiblesse, alors que son père refuse de la voir elle, devenu paranoïaque et l’accusant de tenter de l’assassiner. Un jour, alors qu’elle accompagne un médecin dans sa chambre, il se rue sur elle avec sa masse d’arme et lui brise trois côtes, manquant de peu de la tuer, avant de s’effondrer dans une crise de démence, qui le laissera par la suite presque entièrement mutique. Le père de Sei meurt à peine un an après le début des symptômes, ayant perdu la moitié de son poids, conscient de sa déchéance et implorant le pardon de sa famille dans ses derniers mois de lucidité.
Le décès de son père est pour Sei un triste et horrible soulagement, et elle se distance de plus en plus de sa mère, abandonnée à la bigoterie et aux manipulations de la secte de Crésselia. Après quelques mois d’errance émotionnelle, elle tombe amoureuse d’un de ses collègues de la Sylphe, et ils forment un couple qui lui redonne une forme de stabilité. Akihira, son amant, souhaite fonder une famille avec elle et lui redonner l’espoir qu’elle a perdu, en sa famille, en l’humain et en elle-même. Reprenant peu à peu goût à son métier, elle écrit quelques articles novateurs et très remarqués dans la communauté scientifique sur les troubles du sommeil chez les pokémon, sur lesquels elle s’est spécialisée avec l’aide de son Hoothoot, faisant d’elle la spécialiste du domaine. Voulant de faire de sa tragédie personnelle une force, elle dédie toute son énergie à son travail, avec le soutien compréhensif d’Akihira, qui rapproche ses recherches des siennes pour lui venir en aide. Un jour, alors que ses règles se sont arrêtées depuis plus d’un mois, elle pense à la grande joie de son amant et à sa grande fierté être tombée enceinte.
Toutefois les tests se révèlent négatifs, plongeant les médecins (et elle-même) dans une certaine perplexité. Ce n’est que quelques mois après qu’un diagnostic la révèle ménopausée prématurément, un symptôme qu’elle retrouve vite dans les écrits rassemblée sur la maladie de son père… qui s’avère être génétique. Son couple vole en éclats, alors qu’Akihira, terrifié de ce qui va arriver à la femme qu’il aime, ne parvient pas à assumer l’inéluctable mort qui l’attend. Les premiers symptômes d’insomnie se font vite sentir, et Sei succombe à la panique. Ce n’est que sa force de caractère, et ses connaissances étendues sur le sujet du sommeil, qui lui permettent de mettre en place un régime drastique pour prolonger son existence avant l’aggravation des symptômes. Ayant vu l’inefficacité des somnifères et barbituriques sur son père, elle se plonge dans des sommeils forcés et misérables à l’aide de l’hypnose de son Hoothoot, s’accordant des heures journalières de méditation musicale en parodie de sommeil. Elle décide un temps de cacher son état à sa mère, mais l’évidence de sa condition finit par la rattraper. Sa mère, désormais intoxiquée par la foi, ne lui oppose que de chercher le salut en Crésselia, blessant profondément les sentiments de Sei, qui se sent abandonnée. Sachant que de rapides pertes de poids vont s’ensuivre, elle se force à un régime d’ogre et un exercice intense, pour maintenir son corps dans les meilleures conditions possibles pour faire face à la maladie. Mais le coup reste néanmoins brutal, et sa psyché fragilisée se brise petit à petit, alors qu’isolée de tous, elle devient paranoïaque et antisociale. Médicamentée en permanence et sous une torpeur constante induite par son Hoothoot, elle peine désormais de plus en plus à distinguer ses hallucinations de la réalité, mais se refuse à abandonner son travail. Sa fascination avec le mal de son père devient une obsession. Ayant identifié des similitudes avec sa condition et certains pokémons atteints par un mal ancien du sommeil, elle voyage à Sinnoh, où elle croise à nouveau la route du culte de Cresselia, qui, contacté par sa mère, l’aide dans ses recherches des archives de la bibliothèque de Joliberges.
Elle se lance alors dans une série d’expériences non autorisées sur les pokémons sauvages, utilisant son Hoothoot et les techniques de sommeil les plus avancées qu’elle peut découvrir, causant involontairement la mort de nombre de ses sujets. Sei, déconnectée de la réalité, perd peu à peu la valeur de la vie des Pokémons, qui ne sont plus pour elle que des moyens d’avancer vers un salut très hypothétique. Toutefois, elle développe au cours de ses travaux des pilules somnifères extrêmement puissantes et provoquant des rêves particulièrement précis et vivides. Ces comprimés trouvent vite preneurs auprès de la pègre de Safrania, qui a toujours suivi de près les travaux de la Sylphe, et Sei met la main sur un magot illicite qu’elle emploie à la création d’un laboratoire underground pour mener à bien ses expériences tranquillement, avec la bénédiction des criminels. Malheureusement pour elle, ses expériences de plus en plus brutales, visant à recréer la maladie sur les pokémons pour y trouver un traitement, commencent à alerter les rangers locaux, inquiets des chutes de population des pokémons sauvages environnant Safrania. Akihira, devenu un respectable professeur, est chargé d’autopsier les cadavres de pokémons trouvés dans les décharges environnantes, et découvre un lien évident avec la maladie de son ancienne compagne. Retrouvant sa trace, il la met face à ses actes, et Sei achève de sombrer dans la folie. Persuadée qu’Akihira va la livrer aux autorités, elle se rue sur lui et le tue avec la masse de son père. Choquée par sa propre perte de contrôle, Sei fait venir en catastrophe ses contacts de la pègre, qui décident de l’envoyer à l’ombre sur l’archipel isolé de Mhyone pendant qu’ils effacent ses traces, en échange d'une bonne partie de sa fortune.
Dans son malheur, les derniers résultats de ses expériences lui accordent un répit, alors qu’elle arrive à mettre au point une nouvelle thérapie hypnotique via son Hoothoot qui la stabilise un peu, mais trop tard. A son arrivée sur Mhyone, les contacts de Sei la dirigent immédiatement vers l’île Eschine, où elle entre en contact avec d’autres anciens de la Sylphe, et reprend un poste de chercheur Pokémon. Elle s’installe d’abord près des marais, puis dans une petite maison sur le chemin sacré que lui trouvent des membres du culte de Crésselia qu’elle a décidé d’exploiter sans scrupules. Elle ne compte désormais dans ses fréquentations que ses collègues de travail et quelques membres du culte, pratiquant d’arts martiaux qui cèdent à ses demandes de défouloir quand elle se sent sur le point de faire une crise frénétique et a besoin de passer ses nerfs sur quelque chose à coups de masse en bois.  Sa condition, qu’ils considèrent comme la marque du mal, alors qu’elle est toujours absolument insomniaque, lui attirent la compassion et la pitié des membres du culte, ce qui la dégoûte, mais dont elle a paradoxalement cruellement besoin pour se garder en état. Elle maintient toujours une relation extrêmement privilégiée avec son Hoothoot, qui n’a jamais contesté ses changements et a évolué avec elle. C’est le seul être qui a ses yeux ne l’a jamais menacée, ne lui a jamais fait défaut ou abandonnée, et elle y est profondément attachée. Pour autant, les épreuves qu’il a traversées avec sa dresseuse ont eu un impact durable sur lui, et il est clairement névrosé et agressif avec les pokémons et humains qu’il ne connaît pas, comme s’il avait hérité de la paranoïa de Sei. Les expériences sur les techniques de sommeil de Sei ne l’ont pas épargné, et il a un regard vide et désincarné. Il est lui aussi insomniaque.
Sei a maintenant 30 ans, et a beaucoup appris de ses erreurs. Elle vit désormais avec sa maladie qui la tue inéluctablement et détruit son esprit chaque jour un peu plus, mais elle a réussi à ralentir le mal, et à en surmonter certains des symptômes. Ses erreurs de Safrania l’ont rendue prudente, mais elle ne néglige pour autant pas ses méthodes impitoyables et cruelles pour mener à bien ses recherches, complètement insensibilisée à la souffrance d’autrui, qu’elle imagine comme un fragment infime de son propre tourment. Elle a désormais même un goût pour la peine des autres, qui lui semble être le seul moyen de s’identifier à eux. Plusieurs de ses travaux lui attirent les faveurs de groupes industriels prêts à lui acheter ses résultats avant publication pour s’en octroyer l’exploitation, sans trop lui poser de questions. Une enquête a été ouverte et elle a même reçu une visite de l’interpolice après la disparition d’Akihira, mais elle a levé les soupçons sur elle sans trop de difficulté. L’inspecteur Belladonis (un nom de code évident) a vu en elle une victime très affaiblie et affectée par la perte de son ancien conjoint, et ce malgré le fait qu’il l’ait abandonnée, l’écartant de ses pistes pour favoriser la thèse d’une magouille illégale avec la Team Rocket, tout sauf improbable dans l’environnement véreux de Safrania.
Sei, ayant appris l’existence par la secte de Crésselia de techniques pokémon de sommeil supérieures qui pourraient l’aider dans ses recherches, s’est finalement décidée à entraîner son Hoothoot pour le combat afin d’améliorer ses pouvoirs, une démarche qu’elle avait jusqu’à sa maladie refusé de mener par respect de son pokémon et par sa vocation de docteur, avant d’en négliger la possibilité. Depuis, elle passe l’essentiel de son temps libre à compulser des livres de dressage de pokémon à la bibliothèque du centre de recherche d’Eschine, où elle a ses entrées, amassant assez vite une bonne connaissance théorique…
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MessageSujet: Re: Les yeux vides   Les yeux vides EmptySam 2 Sep 2017 - 22:00

Salut et bienvenue sur Pokémon Mhyone. Very Happy

Comme on en a discuté, le principe de ton personnage est accepté sous certaines conditions et limites. En ce qui concerne la présentation, elle est cohérente et très bien écrite. Par contre, vis-à-vis du forum, il va falloir édulcorer quelques parties pour qu'elle s'intègre mieux dans l'axe que l'on souhaite pour le forum et sa communauté.

-Alors, tu peux faire des expériences douteuses sur les pokémons si tu veux, c'est déjà arrivé dans les jeux et l'anime. Par contre, ce serait mieux de ne pas les faire mourir. Les blessures ça passe, pas la mort.
-Du coup, dans la même logique, pas de meurtre, d'agressions et de blessures à la masse.
-Enfin, on préfère éviter les liens avec les personnages importants de l'univers existant. On ne sait pas ce qu'il va se passer dans la suite du forum et qui sait, peut-être que Belladonis viendra enquêter à Mhyone.

Mis à part ça, je n'ai pas repéré autre chose qui me dérangeait particulièrement. Je vais faire une deuxième lecture après tes corrections et peut-être que je trouverai autre chose. Sur ce, je te laisse faire les changements.

Bon courage ! Smile
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