Pokemon Mhyone
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 Maksimilian – Cause toujours, tu m'intéresses.

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2 participants
AuteurMessage
Maksimilian Leskov

Maksimilian Leskov


Région d'origine : Sinnoh
Messages : 33

Maksimilian – Cause toujours, tu m'intéresses. Empty
MessageSujet: Maksimilian – Cause toujours, tu m'intéresses.   Maksimilian – Cause toujours, tu m'intéresses. EmptyMer 19 Avr 2017 - 12:15

Leskov Maksimilian




Surnom : Pandore
Espèce : Wattouat
Nature : Jovial
Détails : Pandore est mignonne. Pandore est rayonnante, au sens propre comme au sens figuré. Pandore possède également son caractère. Ses quelques années de galère lui ont appris à ne pas se faire marcher sur les pattes. Si quelque chose lui déplaît, elle n’hésite pas à user d’une petite attaque électrique pour remettre les pendules à l’heure au contrevenant. Le tout suivi d’un petit cri adorable une fois qu’elle a obtenu gain de cause. C’est notamment la stratégie dont elle a usé pour ne pas entrer dans sa pokéball. Entre autre.

identité
irl


Nom : Leskov
Prénom : Maksimilian
Âge : 20 ans
Région d'origine : Sinnoh
Groupe du Poryweb : L’emblème du Guériaigle
Archétype : Collectionneur
Feat : Ichigo Hitofuri – Touken Ranbu

Surnom : Minsty
Âge : 20 ans
Comment avez-vous découvert le forum ? Via un top-site !
Autre chose ? Votre design est trop beau ♥ Et pour revenir au côté moins fun, ça doit être la première fois que j’écris à la première personne … J’espère que ça ira !
psychologie & physique

« Maks … S’il m’avait pas écouté, il serait resté dans les jupons de sa mère jusqu’à sa mort. Pas qu’elle soit pas gentille, attention, mais elle peut-être super étouffante ! En plus, ça se voyait qu’il avait besoin d’espace, de tranquillité. Entre la Klara et la Sigrid, il a toujours été couvé. Ce voyage, c’est un peu une manière de se prouver qu’il peut réussir. Même si ça m’angoisse de l’avoir envoyé là-bas. Seul. Y’a Pandore, mais c’est pas tout à fait pareil …. Vous allez pas lui dire, hein ?! Il va se foutre de moi sinon, avec sa langue des signes et son rire grinçant. Vous savez, c’est super dur pour lui de parler, mais il essaye de faire des efforts. Parfois, il a la flemme et il se contente d’écrire son texte sur son smartphone et de le faire lire aux gens. Il s’est fait voler un portable comme ça, une fois ! Depuis, il fait super gaffe. Et avec Pandore qu’hésite pas à donner un petit coup de jus, ça a de quoi diminuer les risques ! Sinon … Il est sympa la plupart du temps. Enthousiaste, ouais. Sauf quand il fait des recherches ou je n’sais quoi. Là, il est galère. Genre, faut pas le déranger, blablabla. Il se laisse facilement convaincre pourtant. Même si j’soupçonne qu’il cède pour avoir la paix plus rapidement. Ou alors, il reste bloqué sur sa position. En fait, c’est souvent un jeu avec lui. Difficile à cerner, en tout cas. Mais c’est pour ça que je l’aime bien ! » Skygge, ami précieux.

« Cet enfant est inconscient. Partir aussi loin, sans rien avoir préparé, vous ne pouvez pas appeler cela du bon sens ! Il va me tuer. C’était pourtant un enfant tout calme, mais depuis quelques temps il prend un mauvais chemin. Mon-sieur se pense capable ! S’il pouvait ne plus être capable de fumer, ça m’arrangerait bien, tiens. En plus, il a un don pour s’attirer les ennuis ! Sa nouvelle couleur de cheveux en est la preuve ! Bleus. Ses magnifiques cheveux bruns sont maintenant bleus. Une horreur. Il va mal tourner, je vous dis ! Tout ça pour s’affirmer. Des foutaises. C’est la faute à toutes ses séries et ses jeux. Ça lui monte au cerveau tout ça. Au lieu de perdre son temps dans ces idioties, il devrait apprendre à tenir une maison. Il a peut-être de la volonté, mais il ne sait rien faire de ses dix doigts. Une véritable catastrophe en cuisine, en jardinage, en bricolage … Il n’y a que pour lire ou pour s’occuper de son pokémon qu’il s’en sort ! Et encore, il a été regarder des tutoriels sur internet pour Pandore. » Klara, maman quelque peu angoissée et excessive.

« Étonnant. Ouais … C’est le premier mot qui me vient à l’esprit, là. Il a un comportement étonnant. Pendant une seconde il peut être enthousiaste, puis ensuite prendre un air blasé. ‘Ksi joue beaucoup sur ses expressions, d’ailleurs ! Ça peut surprendre parfois, c’est un peu maladroit, mais c’est amusant. Même si bon,  il ne surprend pas grand-monde. Il a du mal avec les autres. Je dirais que c’est pas seulement la faute de sa surdité, mais aussi celle du décès de son père. Après ça, il a déprimé, s’est renfermé, et a perdu ses amis dans la foulée. Maintenant, il reste avec cette peur de l’abandon. Il le cache, bien sûr ! ‘Ksi ne montre pas ses faiblesses comme ça. Surtout qu’avec le sourire qu’il peut sortir parfois, ça donne l’impression que tout va bien. Mais quand il ouvre son cœur, il le fait vraiment. Ouais, faut pas gâcher ça. Il peut avoir l’air je-m’en-foutiste, mais il ne l’est pas du tout. Il prend peut-être trop les choses à cœur, justement. Comme Pandore. Il ne l’a pas dit, mais la maltraitance de Wattouat l’a secoué. Maintenant, il fait tout pour lui donner ce qu’elle a pas eu. Y’a pas à dire, ‘Ksi a un cœur en or. » Sigrid, cousine pas vraiment objective.
histoire

Parfois, la vie peut être injuste. Ma mère répétait souvent ces mots, apparemment, mais ce n'est que bien plus tard que j'ai compris.

Je suis né dans un petit village perdu, pas très loin de Frimapic dans la région de Sinnoh. Un lieu où tout le monde se connait, où chacun sait tout sur la vie des autres, même les choses dont il ne devrait pas avoir connaissance. Un coin perdu où les commérages vont bon train. Quelques mois avant ma naissance, les potins les plus échangés devant le seul commerce du village portaient sur mes parents. Ma mère, que tout le monde croyait stérile, était enceinte. Miracle d'Arceus ? Erreur médicale ? Chacun avait son avis, son petit commentaire à faire, sa soi-disant source à mettre en avant. L'un savait grâce à la tante de la meilleure amie de la concernée qu'elle aurait fait un tour chez un spécialiste pour régler le problème. Un autre disait savoir du frère de la petite amie du cousin du futur père que ce miracle existait simplement grâce à des herbes que la future maman prenait depuis quelques semaines maintenant. Tous s'accordaient toutefois à dire qu'ils étaient trop vieux pour ça. A presque quarante-trois ans pour la mère et cinquante ans pour le père, ils ne pouvaient pas assurer. Ils ne pouvaient pas offrir à ce futur enfant tout ce qu'il pouvait désirer. Des commérages, des propos insultants, le tout cessant quand les principaux concernés venaient à passer juste à côté. Ils n'assumaient pas, offrant simplement des sourires forcés et des félicitations respirant l'hypocrisie. Cette partie de l'histoire, c'est ma cousine qui me l'a raconté. Sigrid, de son nom. D'une dizaine d’années plus vieilles que moi, elle était mon point de repère dans ce village campagnard où les propos des habitants pouvaient être plus cinglants que le vent glacial de l'hiver. Le seul point sur lequel je comptais vraiment une fois en dehors de la maison. Je n'ai pas le moindre souvenir de ma petite enfance. Jusqu'à ma cinquième année environ, ma vie n'est qu'une tâche d'encre. Mes premiers pas, mon premier voyage en dehors de la région, ma première descente en luge et ma première amoureuse, toutes ces expériences m'ont été rapportées par mon entourage. Que des expériences joyeuses, des moments que personne ne pense à regretter. Etrangement, on ne parle jamais des choses plus fâcheuses. Des moments où la peur a pris le pas sur tout le reste, où le coeur se met à battre à cent à l'heure et où le doute peut s'installer petit à petit. Personne ne m'a raconté la réaction de mes parents quand ils ont compris que je ne pourrais jamais entendre le crépitement du bois dans l'immense cheminée du salon, ni même leurs mots. Que je ne serais pas un enfant normal. Pas dans le sens où ils l'entendaient, en tout cas. Je suis né sourd, mais pas pour autant muet. Un petit soulagement pour eux, quand le médecin a fini par préciser ce point. Mes cordes vocales se trouvaient bien à leur place, j'étais capable de les utiliser. Je pouvais produire des sons, sans toutefois me rendre compte de l'intensité que je mettais dans mon ouvrage. En y repensant, cette époque devait être un véritable calvaire pour eux. Entre mes cris et leurs suppliques qui ne m'atteignaient pas, ils ont dû vivre un enfer. Pour autant, je ne vais pas dire que je m'en veux.

Avoir des regrets pour une chose s'étant déroulée presque une dizaine d'années plus tôt n’était qu’une perte de temps.

D’après Sigrid, j’ai très vite compris ma situation. De bébé brailleur, je suis passé à petit enfant silencieux et attentif à ce qui pouvait l’entourer. Un véritable enfant modèle. Touche à tout, curieux, obsédé par les émissions sur les pokémons dès que mes parents pouvaient zapper sur une chaîne passant un documentaire. Mon premier souvenir complet remonte à mon septième anniversaire. Avant celui-là, il ne me reste que des bribes. Des images floues, avec des fleurs, une vaste étendue d’eau, le sourire de maman. Le plus important à mes yeux. Voir ma mère sourire revenait à voir le soleil se lever le matin. Rien que par ce geste, elle pouvait illuminer n’importe quel endroit. Enfant, je pensais que ma mère était une fée. Une bonne fée, comme dans les livres de contes, venue à la maison pour m’élever et aider mon père. Quelle idiotie. A mon septième anniversaire, cette fée m’a offert le plus beau cadeau qu’elle pouvait me faire : une encyclopédie regroupant tout un tas d’informations sur les pokémons. Ce livre, je ne l’ai pas lâché. Jamais. Plus que mon livre de chevet, il est devenu mon doudou. Je l’emmenais partout, bien rangé dans le sac à dos de mon père ou mon propre sac une fois plus grand. Cette encyclopédie, je l’ai lu et relu un bon millier de fois, sans toutefois comprendre un traître mot au départ. Elle était mon amie, celle qui ne m’abandonnait pas dans un coin de la cours de récréation pour aller jouer avec les autres.

Je me suis enfermé dans mon monde. Un monde où je n’avais pas besoin de prêter attention aux autres ni même de sourire. Un monde où je pouvais apprendre et satisfaire mon envie d’apprendre.

Maman l’a vite compris. A partir de cet anniversaire là et de mon intérêt de plus en plus développé pour ce cadeau que je ne pouvais pas cerner complètement, elle a multiplié les sorties pour que je puisse découvrir un peu plus de choses, pour que j’engrange de nouvelles informations. Ce que j’ai fait. Je repartais toujours avec des tonnes de détails en tête, que je m’empressais de noter dans un carnet une fois de retour à la maison. Des données, comme aimait les appeler Sigrid. Mon trésor le plus précieux, selon moi. Un trésor que je gardais farouchement, dissimulé dans le plancher grâce à une latte de parquet facile à enlever. Ma petite planque personnelle, où les carnets pouvaient côtoyer les paquets de biscuits dérobés dans la cuisine.

Dans le fond, je n’ai jamais été malheureux. Pas avant ma douzième année, en tout cas. Malgré quelques difficultés au niveau social, j’allais à l’école comme tout le monde et possédait même deux amis que j’appréciais particulièrement. Je jouais, j’étudiais. Ma vie se voulait aussi palpitante que les aventures d’une tranche de pain de mie attendant son tour avant de se faire dévorer au petit-déjeuner. Sigrid venait de temps en temps, malgré ses études. Maman m’emmenait toujours dans des endroits intéressants, profitant au maximum de ses jours de congés. Et puis, il y avait papa. Un papa travailleur, qui ne faiblissait jamais. Un papa pourtant parti bien trop tôt à cause d’une maladie. Je rentrais de l’école quand maman m’a appris la nouvelle, ses jolies petites joues un peu rondes mouillées par les larmes. Sur le coup, je n’ai pas compris tout de suite. Pour moi, il était simplement sorti comme il le faisait souvent ces derniers temps. Sauf qu’il n’est jamais revenu. Après ça, maman ne souriait plus autant qu’avant. Ou, tout du moins, plus avec le même esprit qu’avant. Pour moi, elle représentait le Soleil : aussi lumineuse que l’astre. Là, elle ressemblait plus à la Lune : émettant une lumière froide grâce à la lumière d’un Soleil lointain. Sans papa, ce n’était plus la même chose. Avec lui, elle venait de perdre une part importante de ce qui faisait sa vie. C’est sans doute ce qui m’a rendu le plus triste dans cette histoire. La mort de papa était une chose, la tristesse de maman en était une autre.

Aujourd’hui encore, je suis certain qu’elle regarde tristement le jardin où mon père aimait passer son temps après une journée éreintante.

Cette ambiance, je ne l’ai pas supportée. Je me suis enfermé un peu plus sur moi-même, usant l’encyclopédie de mes sept ans au fil de mes incessantes lectures. Ce manège a duré deux ans. Deux longues années où mon quotidien se résumait à me lever, me préparer, aller à l’école, faire mes devoirs, lire des ouvrages sur les pokémons, me coucher. Sigrid m’a avoué que j’étais un cas désespéré à cette époque. Une tête de mule trop peureuse pour prendre les choses en mains et faire en sorte que tout aille mieux à la maison. Maman tentait de me distraire, de me faire sortir, mais comptait plus d’échecs que de victoires. Jusqu’au jour où il est arrivé. Lui, ce gamin insouciant et beaucoup trop souriant pour être tout à fait honnête. Un sale gosse intéressé par les autres et les énigmes que ceux-ci peuvent constituer. Skygge. Concrètement, il ne s’est pas fait beaucoup d’amis dans notre école. La faute à sa curiosité et à sa manie de jouer avec les faiblesses des autres. Certains ont pardonné ses écarts, d’autres ont préféré faire comme s’il n’existait pas. Moi ? Il faisait partie de ce décor que représentait l’école. Une transparence qu’il a petit à petit mise à mal, jusqu’à la détruire totalement.

Cela fait six ans qu’on ne se lâche plus.

Nous avons vécu des instants plus au moins joyeux, des galères plus ou moins importantes. Sa volonté de faire des études supérieures a été une catastrophe. Mon envie de rester le nez dans mes livres a été remisée au placard. Nous avons été amis, nous nous sommes détestés, renouvelant cette boucle un nombre incalculable de fois. Sigrid m’a confié que cette amitié a été un soulagement pour elle et pour maman. Cela montrait que je n’étais pas un cas désespéré, que je ne finirais pas mes vieux jours dans ma chambre, écrasé sous une pile de livres. Maman, elle, ne m’a rien dit. Elle se contentait de sourire lorsque Skygge venait à la maison. Un sourire véritable. Pas un de ceux qui ornaient son visage à l’époque où papa était encore en vie, mais un suffisamment sincère pour montrer qu’elle tournait petit à petit la page. Elle n’oubliait pas, mais elle vivait avec. Avec cette même force qui la caractérisait depuis de nombreuses années. Cette force qui l’a poussé à très mal prendre mon projet.

Partir.

Partir loin de ce village perdu au beau milieu de la montagne enneigée. Partir vers des contrées dont mon dernier livre n’arrêtait pas de vanter les lieux. L’archipel de Mhyone. C’est Skygge qui m’a montré l’endroit, assurant que ce serait une bonne manière de sortir du cocon familial. Un cocon si étouffant qu’il m’était impossible de m’épanouir. Malgré son amour, ma mère ne me voyait qu’à travers ma différence. Une différence que Skygge me faisait oublier. Que le pokémon offert l’année précédente par ses soins me faisait oublier. Pandore. Une adorable Wattouat femelle, maltraitée puis abandonnée par ses précédents propriétaires. Ce sont les parents de Skygge qui l’avaient recueillis et soignée dans leur pension. Elle avait besoin d’affection. J’avais besoin de compagnie. Skygge a décrété que ce serait un cadeau parfait.  

Un cadeau me permettant de m’émanciper pas moins d’une année plus tard.

L’inconnu  peut faire peur. Il peut aussi être excitant. Un mélange de ces deux sensations peut également se former dans certains cas. Présentement, c’était mon cas. Pendant mon trajet en avion, j’ai eu le temps de songer à tout ceci, de me traiter d’imbécile. Venir sur cet archipel avec ce vague désir d’émancipation ne pesait pas bien lourd si l’on tenait compte des difficultés qui allaient résulter de cette décision. Des personnes inconnus, un environnement nouveau, un logement et un travail à trouver. Dans quel but ? En apprendre toujours plus ? C’était vague, mais cela représentait bien la seule chose venant à mon esprit. Toujours, toujours plus. Jusqu’à me gaver, ne plus avoir envie de rien. Et là ? Seul Arceus savait. Seul lui pouvait déterminer ce qui allait advenir de ma carcasse.

A vingt ans, je possédais bien toute la vie pour me décider.
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MessageSujet: Re: Maksimilian – Cause toujours, tu m'intéresses.   Maksimilian – Cause toujours, tu m'intéresses. EmptyMer 19 Avr 2017 - 17:53

Bienvenue sur Mhyone !


Salut et bienvenue sur Pokémon Mhyone ! Very Happy
Je n'ai strictement rien à redire sur ta présentation. Elle m'a même tellement plu que j'ai décidé de t'offrir un starter shiny si tu le souhaites. Tu as donc la possibilité de choisir les couleurs que tu veux pour ton Wattouat, tu n'es pas obligé de conserver celles du jeu. Si besoin, tu pourras trouver sur ce forum de bons graphistes qui peuvent te faire un sprite aux couleurs de ton choix.

Tu es dès à présent validé ! Nous espérons que tu t'amuseras sur Mhyone RPG. Si tu as la moindre question, n'hésite pas à aller en poser dans la partie Question & Suggestions. Tu peux regarder les nouveautés pour connaître les événements en cours. Nous t'invitons à créer un sujet dans les T-Card pour regrouper toutes les informations nécessaires à ton voyage. Tu as désormais dans ton inventaire 3 Pokéballs et un starter.

Tu peux demander un RP ici, ou nous rejoindre sur Discord !
Bon jeu !
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Maksimilian Leskov

Maksimilian Leskov


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MessageSujet: Re: Maksimilian – Cause toujours, tu m'intéresses.   Maksimilian – Cause toujours, tu m'intéresses. EmptyJeu 20 Avr 2017 - 14:48

Je. Wahou. Merci. Je pensais pas que l'histoire de Maks serait autant appréciée ! Je sais pas encore quelles couleurs aura Pandore, mais c'est avec plaisir que je prends ce pokémon chromatique ♥

Merci encore !
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MessageSujet: Re: Maksimilian – Cause toujours, tu m'intéresses.   Maksimilian – Cause toujours, tu m'intéresses. Empty

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