Pokemon Mhyone
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

RPG Pokemon
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-20%
Le deal à ne pas rater :
Sony PULSE Elite – Casque PS5 sans fil (blanc) à 119€
119 € 149 €
Voir le deal

 

 Présentation de Riley Hiriel

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Riley Hiriel

Riley Hiriel


Région d'origine : Johto
Messages : 4

Présentation de Riley Hiriel Empty
MessageSujet: Présentation de Riley Hiriel   Présentation de Riley Hiriel EmptyJeu 20 Avr 2017 - 17:30

Riley Hiriel




Surnom : Primrose
Espèce : Bombydou
Nature : Foufou
Détails : Elle adore embêter les plus gros Pokémons, ce qui a tendance à lui attirer des ennuis.

identité
irl


Nom : Hiriel
Prénom : Riley
Âge : 15 ans
Région d'origine : Johto
Groupe du Poryweb : Rune de Feunard
Archétype : Collectionneur
Feat : Eru Chitanda - Hyouka

Surnom : Nym
Âge : 22 ans
Comment avez-vous découvert le forum ? Un ami m’a envoyé le lien, j’ai jeté un œil et ça m’a donné envie de vous rejoindre.
Autre chose ? Je suis multitâche (ou pas).
psychologie & physique

Riley est loin d’être extravertie. Au grand désarroi de ses parents, elle passe plus de temps seule, à chercher quelque chose à dessiner ou un endroit qui lui inspire une épopée plutôt qu’avec ses quelques amis, ou avec des gens de son âge. Même après la capture de Primrose, son Bombydou, elle préfère rester « dans sa bulle », avec son Pokémon. Elle n’est par ailleurs pas vraiment friande de combat et cherche à les éviter autant que possible.

Si elle est timide et n’ira pas facilement vers les autres, Riley aime beaucoup les grandes manifestations - concours, festivals, tout ce qui amène du divertissement, tant qu’elle n’est pas le centre de l’attention. C’est comme un autre monde, qu’elle regarde de l’extérieur ; un monde dont elle aimerait faire partie, mais où elle a toujours l’impression, au fond, qu’elle n’est pas vraiment à sa place.

C’est une jeune fille qui passe facilement inaperçue, non seulement parce qu’elle fait tout pour ne pas se faire remarquer, mais aussi parce qu’elle n’est pas bien grande - à peine 1m60. Elle a des cheveux noirs qui descendent sous ses épaules, avec lesquels elle a l’habitude de jouer lorsqu’elle est ennuyée. Elle vous regarde toujours avec ses grands yeux, comme si elle craignait d’avoir fait quelque chose de mal ou qui pourrait vous blesser.
histoire

Le trajet touchait enfin à son terme. Cela faisait quelques heures que, la tête appuyée contre la fenêtre, je ne voyais que l’obscurité en contrebas. Puis, petit à petit, les lumières de la ville étaient apparues. Nous approchions de notre destination - de l’aéroport, d’un peu plus de route, d’un « bienvenue à la maison » et d’une autre nuit trop courte.

Au moment de descendre, mon père posa une main qui se voulait rassurante dans mon dos. Il avait passé le vol à dormir à côté de moi, alors que j’étais incapable de fermer l’œil.

C’avait déjà été le cas, la dernière fois que nous avions pris l’avion. Le vol était incroyablement long - nous avions quitté Ecorcia, à Johto, aux aurores pour rejoindre l’aéroport et partir pour Alola, et plus précisément l’île de Mele-Mele. C’était l’été, l’année de mes quatorze ans ; les médecins avaient autorisé ma mère à prendre l’avion, le climat d’Alola devait l’aider à se remettre d’aplomb. Nous avions passé le vol à jouer à des jeux de société pendant que mon père ronflait tant qu’il le pouvait.
Ces vacances-là ont été les derniers « bons jours » de ma mère, ceux où elle était en bonne santé. Pour mon anniversaire, mes parents m’avaient offert une Pokéball et l’autorisation de capturer mon premier Pokémon seule. Leur seule condition, c’était de ne pas prendre de risques inconsidérés. Ils espéraient certainement que la première capture déclencherait en moi une envie d’aventure, de combats, et m’ouvrirait un peu aux autres.
Mon calepin à dessins dans une main, mon sac en bandoulière sur l’épaule, je partis en quête d’un compagnon de route sous le cagnard. L’ombre se faisait rare et la saison touristique n’aidait pas mes recherches - les éclats de voix et le pas lourdaud de tous les curieux qui se promenaient faisaient fuir les Pokémons sauvages.
Un courant d’air frais m’attira dans une caverne, dans les hauteurs de la route 3. Ce qui s’y trouvait me coupa le souffle ; au cœur d’une caverne à ciel ouvert, il y avait un parterre de fleurs jaunes qui faisaient écho au soleil qui déclinait. L’endroit était incroyablement paisible : il n’y avait que deux ou trois personnes, en train de flâner ou prendre des photos. Quelques Papilusions survolaient les fleurs, et de temps à autre il me semblait déceler un mouvement au sol. J’avais l’impression d’avoir trouvé un paradis sur terre.

Comme à mon habitude - et oubliant par la même occasion la tâche confiée par mes parents - je posai mon sac et m’assis contre la paroi pour dessiner. Il fallait que je montre tout ça à mes parents, ils n’allaient pas en revenir.
C’est en griffonnant sur le papier qu’une nuée de petits Pokémons attira mon attention. Ils avaient la même couleur que les fleurs qu’ils butinaient et étaient tout petits ; s’il n’y avait pas eu celui-ci qui ressortait du lot par sa couleur rosée, j’aurais pu ne jamais les voir. Je voulais capturer l’instant, réussir à le dessiner avant qu’il ne s’envole à nouveau, lorsque la Pokéball dans mon sac entrouvert se rappela à mon bon souvenir. En faisant de mon mieux pour ne pas faire de bruit, je la saisis et me levai, puis la lançai sur le Pokémon rose… qui y entra en se retournant vers moi, à l’instant même où un Malosse allait lui bondir dessus. Mon sang ne fit qu’un tour ; je me précipitai vers la balle qui s’agitait encore, au milieu des fleurs, et m’en emparai sous le regard menaçant du Pokémon qui grognait. Son dresseur, un jeune homme qui devait avoir quelques années de plus que moi et ne semblait pas du coin, me regardait d’un air mauvais, les poings serrés.

- Tu sais depuis combien de temps j’attends une opportunité pour l’attraper ?
- Euh… Trente secondes ?

Les mains serrées autour de la balle - qui avait cessé de s’agiter - je fis quelques pas en arrière pour m’éloigner du dresseur. Honnêtement, j’étais trop concentrée sur mon dessin et sur les Pokémons pour remarquer sa présence.

- Trente secondes… soupira-t-il en posant une main sur son front. Trois jours ! Ca fait trois jours que j’observe les Bombydou, plusieurs heures par jour ! Et toi, tu débarques et tu crois pouvoir l’attraper comme ça ?!

Mal à l’aise, je jetai un œil en direction de mon sac et mon calepin laissés en plan. Si j’arrivais à le contourner pour récupérer mes affaires, j’aurais sûrement une chance de m’enfuir. J’étais rapide, et je pourrais me fondre parmi les touristes jusqu’à rejoindre mes parents…

- On joue ça en match Pokémon ! Le gagnant l’emporte.

Je déglutis avec difficulté en jetant un œil au Malosse. Il avait l’air drôlement bien entraîné, et moi je n’avais que ce Pokémon que je venais de capturer, et je n’avais jamais fait un seul match… Je tentai de prendre un air décontracté en me dirigeant vers mon sac.

- Va pour un match, répondis-je en tentant de contrôler le tremblement dans ma voix.

Tout en prenant soin de caler mon calepin dans mon sac, la Pokéball toujours serrée dans une main, je comptais mentalement « 3 »…

- Dans ce cas, on va prendre des règles simples, lança-t-il d’un ton arrogant.

« 2 »…

- On a le droit à un Pokémon chacun.

« 1 »…

- Le premier à déclarer forfait ou être hors d’état de combattre a perdu.

« 0 » ! Le sac tapait contre ma jambe alors que je me précipitais à l’extérieur de la caverne, sous le soleil qui tapait toujours aussi fort. J’entendais le Malosse qui jappait et les pas précipités du dresseur qui tentait de me rattraper, mais j’étais plus petite, plus agile. Je slalomai entre les touristes, m’excusant ici et là d’avoir mal calculé ma trajectoire, et finis par arriver, à bout de souffle, sur la plage où se reposaient mes parents.

Je me souviens encore du regard étonné lorsqu’ils m’avaient vue revenir à toute vitesse, et surtout de la fierté dans leurs yeux lorsque je leur avais présenté Primrose, mon Bombydou. D’après ma mère, s’il était rose et les autres jaunes, c’est parce qu’il s’agissait d’un Pokémon chromatique. Finalement, je comprenais mieux l’énervement de ce garçon…

Rentrés d’Alola, nous avions vu l’état de ma mère s’aggraver petit à petit. Plus elle allait mal, plus je me renfermais dans mes dessins. Mon père me répétait que tout allait bien se passer, que si elle restait à l’hôpital c’était pour aller mieux. Mais au fond, je savais bien qu’un cancer, ça ne se soigne pas comme ça.

Le jour de mon quinzième anniversaire, le huit janvier, mon père apprit qu’il avait obtenu sa mutation dans un commissariat de Mhyone. Ma mère avait pu rentrer à la maison pour quelques jours ; quelques jours de bonheur et d’espoir renouvelés. Mes parents prévoyaient tout - le trajet, le logement, le déménagement. En blaguant, ils me demandaient même si je ne voulais pas partir sur les routes avec mon Bombydou. Enfin, je pensais que c’était en blaguant, mais peut-être que c’était plus important pour eux que je ne l’imaginais…

Et puis, à mesure que le jour du vol approchait, l’état de ma mère se dégradait. Une semaine avant le déménagement, elle s’éteignit dans son lit d’hôpital. Tout s’était enchainé très vite, sans que je ne réalise vraiment - les papiers, l’enterrement, les cartons, et nous voilà dans l’avion.


- Bienvenue à la maison, dit mon père avec un sourire chaleureux.
Je n’avais pas vu le trajet en taxi. Sans doute m’étais-je finalement endormie. Il me montrait une maison minuscule, coincée entre deux autres maisons minuscules, avec un minuscule bout de jardin. Mais bon, c’était toujours mieux pour dormir que l’avion ou le taxi.
- Tu vas voir, dit-il après avoir payé le taxi et sorti nos sacs du coffre. Tu vas te plaire, à Minami.
- On verra, répondis-je à mi-voix.

Pour l’heure, il me tardait surtout de trouver ma chambre et de voir ce que les déménageurs avaient fait de mes affaires.


Dernière édition par Riley Hiriel le Jeu 20 Avr 2017 - 22:09, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Shinichi Kirisaga

Shinichi Kirisaga


Région d'origine : Hoenn
Messages : 538

Présentation de Riley Hiriel Empty
MessageSujet: Re: Présentation de Riley Hiriel   Présentation de Riley Hiriel EmptyJeu 20 Avr 2017 - 19:58

Bienvenue sur Mhyone !


Bonjour ! Tout est en ordre et même mieux qu'en ordre ! J'ai beaucoup aimé ton personnage et je te propose de démarrer si tu le souhaites avec un Bombydou chromatique ! Je vais de ce pas te mettre ta couleur et intégrer ton avatar au bottin, reviens vers nous pour nous dire si tu souhaites le shiny~ Si tu ne sais pas modifier le sprite, tu peux demander à ... Plein de gens ici qui savent s'y prendre ! Voilà voilà.

Tu es dès à présent validé ! Nous espérons que tu t'amuseras sur Mhyone RPG. Si tu as la moindre question, n'hésite pas à aller en poser dans la partie Question & Suggestions. Tu peux regarder les nouveautés pour connaître les événements en cours. Nous t'invitons à créer un sujet dans les T-Card pour regrouper toutes les informations nécessaires à ton voyage. Tu as désormais dans ton inventaire 3 Pokéballs et un starter.

Tu peux demander un RP ici, ou nous rejoindre sur Discord !
Bon jeu !
 
Revenir en haut Aller en bas
Riley Hiriel

Riley Hiriel


Région d'origine : Johto
Messages : 4

Présentation de Riley Hiriel Empty
MessageSujet: Re: Présentation de Riley Hiriel   Présentation de Riley Hiriel EmptyJeu 20 Avr 2017 - 22:08

Super, merci beaucoup ! Very Happy Je m'occupe de tout ça tout de suite (et du coup, oui, je veux bien le shiny '-' je modifie ça)
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Présentation de Riley Hiriel Empty
MessageSujet: Re: Présentation de Riley Hiriel   Présentation de Riley Hiriel Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Présentation de Riley Hiriel
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Pokemon Mhyone :: DETENTE :: Archives :: Archives Administratives :: Présentations-
Sauter vers: