Sujet: Là-haut dans le ciel ~ [Finis] Jeu 8 Sep 2016 - 20:45
▬ Nom : Faust ▬ Prénom : Maeri ▬ Âge : 17 ans ▬ Origine : Parsemille, Unys ▬ Groupe : Enblème du Guériaigle ▬ Feat : Watch Leonardo – Kekkai Sensen
▬ Surnom : Milow ▬ Espèce : Capumain ▬ Nature : Milow est un Capumain qui reflète bien son espèce. De nature plutôt espiègle et intrépide, il a tendance à se mettre dans les pires situations. Il ne réfléchit jamais avant d’agir et est plutôt de sang-chaud, alors quand quelque chose ou quelqu’un ne lui plait pas, il n’hésitera pas à lui faire savoir. Il est malgré tout très serviable et me voue une éternel reconnaissance depuis que je l’ai pris sous mon aile alors qu’il se trouvait dans une situation des plus délicates. Il a un très profond respect pour moi et je sais qu’il m’ait très fidèle. Il ne tardera pas à m’aider si le danger se pointe et sera toujours là pour moi. Il a malheureusement quelques penchant pervers, et à tendance à se comporter très maladroitement envers la gente féminine ; qu’il assume d’ailleurs complètement et ne s’en prive pas ; à mon grand regret, moi qui aimerais éviter toutes querelles inutiles. Il restera malgré tout mon compagnon de route et mon premier camarade et je ne pourrais m’en séparer pour rien au monde.
Si je devais me présenter, je dirais avant tout que je suis quelqu’un d’assez honnête et franc. Je suis une personne agréable à vivre, et la plupart de mes amis me trouvent serviable et toujours prêt à l’emploi. Je n’ai jamais refusé un coup de main, comme je n’ai jamais refusé d’aider une personne dans le besoin. Ma philosophie est simple : aide et on t’aidera. Je suis une petite personne, de nature assez calme et posé. Je suis quelqu'un de réfléchis et je ne vais jamais agir sans avoir analysé la situation. Enfin, c’est ce que j’aimerais faire mais mon petit primate espiègle n’est pas de cet avis et quand il décide de se lancer dans l’action, ma réflexion n’est plus assez rapide pour prendre des précautions, résultat : je perds tous mes moyens et je stresse de ne pas savoir ni quoi faire, ni comment réagir. Outre cela, je dirais que mon moteur de vie est l’aviation. Le ciel est pour moi un univers bien plus infini que la surface de la terre, il est ouvert et quand il est en colère il ne tarde pas à le faire savoir. Le soleil, la pluie, les nuages, la lune et les étoiles dans un ciel de nuit, sont pour moi tout autant de chose magnifique à observer. Depuis que mon père m’a initié au domaine aérien, je ne peux que suivre ses pas et me lancer dans cette carrière. J’ai bien un rêve, un but ultime à accomplir. Je dirais que je rêve de devenir pilote de ligne comme mon père l’aurait voulu. Malheureusement, suite à une vue ne lui permettant pas d’exercer ce métier, il a dû se contenter de travailler en tant que steward. Je veux réaliser ce rêve à la fois pour mon père, ainsi que pour moi. Je dirais sinon que j’ai tendance à profiter un peu trop de la vie. Etant un rêveur, j’ai tendance à me perdre dans mes pensées et imaginer tout ce qu’il peut exister sur cette planète. Des fois mon imagination part trop loin et j’ai tendance à être vite distrait, parfois mon père vient ponctuer celle-ci en me partageant les photos qu’il a pris tout au long de ses voyages, me montrant les différentes régions qu’il a visité ou encore les paysages qu’il a survolés. Je suis quelqu’un d’assez sensible malgré tout, mon adolescence, je l’ai souvent passé seul. J’ai très mal vécu cette solitude et cette « abandon » de mes deux parents, mais j’ai toujours pris sur moi. Mon père n’étant que très rarement chez moi et ayant divorcé de ma mère depuis longtemps, je vis seul avec ma tante qui n’est que très peu bavarde. J’ai donc souvent joué tout seul quand je me trouve à la maison et parfois quand ma tante ne me surveillait pas trop, je faisais le mur, m’éclipsant pour une après-midi ou une soirée, allant regarder le ciel étoilé ou passer du temps avec mes amis. Je dirais que ce temps est révolu depuis et que je ne me sens plus si seul, surtout depuis que Milow est avec moi. Si on a bien une passion en commun mon petit primate et moi, c’est bien les sucreries. J’aime les friandises, le sucre et tout ce qui a tendance à provoquer des carries ; mon péché mignon préféré étant les marshmallows. J’aime en manger car ça me fait voyager et je me sens tout de suite mieux. C’est le remède à mes déprimes occasionnelles, et c’est mon carburant pour continuer à avancer. Mon pire cauchemar, serait sûrement d’en devenir diabétique, mais disons-le clairement, je ne m’en priverais pas pour autant. Autre chose, je dirais aussi que les filles m’apprécient souvent beaucoup, et j’ai souvent eut le charme pour leur plaire, bien que souvent ce ne fut pas réciproque et que cela m’attiraient par la même occasion des ennuis par jalousie de mes camarades. Je dirais aussi que je n’ai jamais réellement su me débrouiller avec les filles, du coup, soit je suis maladroit et je ne sais pas quoi dire, soit j’ai trop peur de la réponse et me braque pensant qu’elle serait automatiquement négatif. Disons aussi que mon petit compagnon ne m’aide pas non plus ; ou disons m’aide à sa manière. Bon nombre de fois je me suis pris des retours de volées de la part de demoiselle que je n’avais clairement pas remarqué, seulement parce que mon camarade a une troisième main bien baladeuse.
Si je devais marqué les grand traits de ma vie, je commencerais par mes neuf ans. N’ayant rien vécu de particulier entre ma naissance et mon neuvième anniversaire outre la rupture de mes deux parents, je dirais que le passé n’en vaut pas la chandelle. Du coup, lors de mon neuvième anniversaire, c’est surtout le premier voyage que j’ai fait en extérieur outre ma petite ville de Port Yoneuve. Je n’avais jamais pris de vacance auparavant, et les seuls endroits où j’étais allé jusqu’à présent se trouvait dans la ville elle-même. Mon père m’a proposé de partir avec lui durant une petite semaine dans la petite ville de Parsemille, pour voir ma tante que je n’avais jamais rencontré auparavant. Sur le chemin, j’ai pu voir beaucoup de paysage différent, et je n’hésitais jamais à arrêter mon père pour ramasser le moindre souvenir de mon voyage ! Au final, nous qui étions partis avec deux sacs à dos, nous sommes rentrés avec plusieurs sacs remplis de souvenirs : pierres volcaniques, minéraux, fleurs, tout était bon à prendre. Quand nous sommes finalement arrivés à Parsemille, j’ai enfin pu faire la connaissance de ma tante. Du moins juste visuellement, puisqu’elle était aussi agréable et chaleureuse qu’une porte de prison. Malgré tout elle était gentille, et nous installa même une chambre d’invité, sous les remerciements de mon père qui se sentait apparemment gêné de s’inviter comme ça. Le lendemain pour notre première journée, mon père m’a emmené voir l’aéroport de la ville ; ce fut la première fois que je vis des avions de mes propres yeux. Il était très rare d’en voir de là où je venais et j’avais souvent tendance à ne pas les remarquer tellement ils étaient petit dans le ciel. Les voir d’aussi prêt, et entendre le bourdonnement qu’ils provoquaient à chaque décollage était impressionnant. Je suis resté une bonne heure fixée sur ces grands engins à travers la baie vitrée de l’aéroport, sous le regard amusé de mon père. Après plusieurs jours à visiter la ville et ses environs, nous avons finalement plié bagage et nous sommes retournées dans notre ville d’origine. Le retour fut d’une courte durée puisque mon père m’apprit une nouvelle qui changea mon enfance du tout au tout. Il allait alors suivre une formation pour devenir pilote de ligne à Parsemille, et que nous partions donc vivre là-bas. Ce fut déchirant pour ma part, quitter ma ville natale et tous mes amis pour le travail de mon père m’ont profondément affecté. J’ai décidé de passer outre, et de laisser mon père vivre ses rêves. Mon père n’ayant pas les moyens de nous louer un appartement à Parsemille, les loyers étant beaucoup plus élevés, et surtout manquant de temps pour s’occuper de moi avec sa formation, il décida de loger chez ma tante avec moi. Elle accepta bien qu’un peu frustré de voir son quotidien chamboulé par deux nouvelles personnes dans sa demeure.
Je dirais que le deuxième gros événement de ma vie fût les résultats de mon père aux examens, il avait réussis complètement les examens techniques, mais la pratique n’avait pas été concluante. Les médecins du travail lui ont diagnostiqué une malformation de la rétine, ne lui permettant pas de se situer dans l’espace. N’ayant jamais fait attention à ce souci, il n’y avait jamais fait attention. Finalement, il fût dans l’incapacité d’exercer ce métier, mais décida quand même de travailler dans le monde de l’aviation. Ils lui trouvèrent un poste entant que steward, et bien que cela ne l’enchantait pas trop, décida d’accepter tout de même pour subvenir à nos besoins. C’est à partir de ce moment-là que j’ai beaucoup moins vu mon père. Il était souvent en voyage, et ne revenait que pour quelques jours le temps de se reposer. Quand il revenait, il prenait du temps avec moi pour me montrer les villes où il était allé ou encore les paysages qu’il avait pu voir. J’écrivais chaque lieu minutieusement dans un petit calepin, prévoyant ainsi un jour d’y aller pour regarder tout ce qu’il y avait à y découvrir. Ce petit calepin, je l’ai toujours d’ailleurs, et il me sert de deuxième mémoire : quand j’ai quelque chose d’important à me souvenir ou quand je pense à quelque chose, je prends toujours le temps de l’écrire. Sinon pour revenir à mon passé, la suite des événements fut plutôt calme, je m’habituais au train-train quotidien, travaillant calmement mes études dans mon coin et aidant mon entourage quand il le fallait.
Mon troisième gros bouleversement fût ma rencontre avec Milow. C’était un soir après les cours, je rentrais du collège et sur le chemin du retour, j’avais l’habitude de passer par une petite ruelle de centre-ville pour gagner quelques minutes. Elle était souvent malfamée, et peu de gens osaient s’y aventurer, mais je ne sais pas si c’était mon inconscience ou mon courage qui parlait (bien que je penche plus pour le premier), je décidais quand même de le prendre. On y croisait des vieux Miaouss de gouttière qui s’était sûrement déjà battu vue qu’un bon nombre de balafres et entailles parcouraient leur corps beige noircit par la poussière et la saleté de cette ruelle. Par chance, il n’attaquait jamais avant la pleine nuit. Comment je le savais ? Je l’avais remarqué le jour où j’ai surpris la fourrière faire leur ronde durant la journée. Ils préfèrent rester tapis dans l’ombre en attendant que les personnels de la fourrière ne rentrent chez eux. Ce soir-là, il n’y avait rien de particulier. Juste que ma rencontre avec Milow s’est faites à ce moment précis, alors que je passer comme à mon habitude dans la ruelle, un espiègle petit primate s’est faufilé et m’a arraché ma paire de lunette d’aviation que je gardais toujours autour du cou. Je n’ai pas vraiment eu le temps de réagir, que le petit voleur s’est faufilé dans une ruelle s’enfuyant avec son nouveau butin. Quand je me suis rendu compte de la situation, j’ai commencé à lui courir après suivant avec difficulté les pas de cet agile pickpocket. Le temps défilé, et l’écart entre celui-ci et moi ne s’étant pourtant pas raccourcis, au contraire il arrivait à me prendre de distance. La course-poursuite dura une bonne demi-heure avant que les ruelles ne soient entièrement plongé dans l’ombre, maigrement éclairé par les quelques réverbères qui n’avaient sans doute pas été réparé depuis un bon moment puisqu’ils éclairaient à la manière d’un stroboscope à différent intervalle irrégulier. Ne voyant pas bien plus qu’à quelques mètres devant moi, il m’était devenu plus difficile de suivre à la trace mon voleur. Du moins, il ne m’a pas fallu longtemps pour comprendre d’où il venait en entendant un bruit de poubelles se fracassant contre le sol en béton. J’ai alors couru jusqu’au lieu du vacarme, et la scène qui se présentait devant moi n’était on ne peut plus clair. On pouvait apercevoir des yeux brillant dans le noir laissant comprendre la présence de nombreux Miaouss, et au milieu de cette scène mon petit voleur apparemment entouré par de nouveaux adversaires. Il serrait les dents montrant sa rage, à croire qu’il se sentait prêt à en découdre avec ses adversaires qui étaient en position de surnombre contrairement à lui. Il donna une taillade en travers du corps du premier adversaire s’interposant à lui, malheureusement les autres ennemis ne semblaient pas d’avis à le laisser faire et ripostèrent en lui bondissant dessus. A ce moment-là, je ne sais pas ce qui m’a pris, que ce soit le courage ou la pitié pour ce petit primate je ne pouvais pas le laisser dans cette situation. Je me souviendrais toujours de ce moment-là. J’ai bondis parmi mes opposants, prenant dans mes bras ce teigneux petit Pokémon avant de fuir tel un couard courant dans les ruelles. La meute de Miaouss me poursuivant d’un air vengeur et ayant pour but de me faire la peau, je courrais aussi vite que je le pouvais, évitant avec réflexe les quelques obstacles s’interposant sur mon passage. Cette course, je pense que je n’aurais jamais plus le souffle pour la faire, mais l’adrénaline sur le moment m’avait permis de m’extirper d’une situation que je n’aurais jamais pensé pouvoir faire. En arrivant à la maison, ma tante inquiète était au téléphone avec un policier suite à ma disparition. Quand elle m’a vu rentrer dans la pièce, les vêtements en lambeau, et le Pokémon dans mes bras évanouit, ce fut bien la première fois que je l’ai vu aussi chaleureuse. Elle m’a pris avec elle, et m’a emmené dans le centre Pokémon le plus proche. J’ai patienté dans la salle d’attente, regardant fixement la pendule et guettant le moindre retour de l’infirmière. Elle revint finalement avec un petit primate en pleine forme essayant de se débattre pour fuir les soins. Il finit par remarquer ma présence, et se calma d’un seul coup. Sautant du chariot et fonça à mes pieds. Il me tendit sa queue, sur laquelle se trouvait ma paire de lunette d’aviation. Avec toute cette histoire, j’en avais oublié qu’il n’était autre que mon voleur. Je ne me rappelle plus vraiment comment s’est passé notre lien, mais depuis ce jour, il ne m’a jamais quitté et le jour où j’ai obtenu ma première Pokéball, elle lui était dédiée. La ball bicolor se referma pour conclure finalement le pacte qui nous relié et depuis ce jour, il me suit partout où je décide d’aller.
Depuis ma sortie du collège, l’école n’étant plus obligatoire, plusieurs choix s’offraient à moi, mais ne sachant plus trop quoi faire je suis resté de long mois divaguant sur mon avenir et ne sachant pas trop quoi faire, ce fut finalement la proposition de mon père qui me décida d’agir. Il avait reçu un billet d’avion par son travail pour un archipel qu’il n’avait jamais visité. L’île principale s’appelait apparemment Mhyone, et il avait décidé de m’offrir ce billet pour mes dix-sept ans. J’ai finalement décidé de partir accompagné de mon petit compagnon, ainsi que d’un sac à dos et de mon éternel calepin dans lequel je suis en train d’écrire ma petite biographie. Me voilà actuellement dans l’avion, et à mon arrivé ce sera pour moi le début de mon premier voyage !
IRL
▬ Surnom : Kewah / Chinatsu (ou Chinachu pour les plus intimes :3 ♥) ▬ Âge : 19 ans ▬ Comment as-tu découvert le forum ? Hm, bah j’étais déjà dessus ~ ▬ Quelque chose à ajouter ? Puy-de-Dôme = Centre de la France
Shinichi Kirisaga
Région d'origine : Hoenn Messages : 538
Sujet: Re: Là-haut dans le ciel ~ [Finis] Jeu 8 Sep 2016 - 21:28
BIENVENUE SUR MHYONE
Bonjour. Tu es dès à présent validé ! Nous espérons que tu t'amuseras sur Mhyone RPG. Si tu as la moindre question, n'hésite pas à aller en poser dans la partie Question & Suggestions. Tu peux regarder les nouveautés pour connaître les événements en cours. Nous t'invitons à créer un sujet dans les T-Card pour regrouper toutes les informations nécessaires à ton voyage. Tu as désormais dans ton inventaire 3 Pokéballs et un starter. Bon jeu !
Là-haut dans le ciel ~ [Finis]
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