Jonas Ulloria
Région d'origine : HOENN Messages : 2
| Sujet: Jonas Ulloria (FINIE) Jeu 12 Jan 2017 - 20:22 | |
| Jonas Ulloria Nom : ULLORIA Prénom : Jonas Âge : 22 Origine : HOENN Groupe : Emblême du Guériaigle Feat :Alexander Anderson – (Hellsing) Surnom : Pas encore Espèce : Vivaldaim Nature : Gentil – Un peu coléreux Caractère et Physique Jonas est de taille moyenne assez massif et musculeux. Il a les yeux bleu sombre, unis, luisant comme du métal. Le genre de regard qui ne donne pas envie d’en savoir plus. Mais à la seconde où il sourit, ses yeux se fendent, on ne les voit presque plus. On alors juste un petit éclat coloré, très doux et lumineux. D’ailleurs cela, arrive assez souvent même s’il n’est pas très souriant cette lueur apparait ponctuellement, reflète tout ce qu’il pense. Ses cheveux sont blonds pâles, éclaircis par le soleil et le sel et ressortent sur son teint halé. Il a, aux premiers abords, un profil de brute épaisse. Pour ne rien arranger, il va rarement très dans la délicatesse, il en semble plutôt incapable. Même lorsqu’il s’agit de faire les poches de quelques. Car il a des tendances de pickpocket assez assumées, mais autant il peut être bon en conflit direct, autant une fois sur deux es victimes s’aperçoivent des ses actes … et ça finit en conflit direct. De manière générale il vole tout ce qui lui plait, il ne vaut mieux ne pas lui faire confiance.
Jeune adolescent, il était plutôt gentil et docile soucieux de bien faire. Mais maintenant faire le contraire de ce qu’on lui impose est une seconde nature. Fier de sa force, il n’hésite pas à donner de la voix et rouler des mécaniques pour se faire entendre. Sortir une lame ne lui fait peur non plus. Malgré tout il ne l’a jamais utilisée contre des civils, seulement contre les autres « marin ». Cependant il se bat facilement à main nues, contre les hommes autant que contre les femmes et fait preuve d’une agressivité naturelle envers tout ce qui l’entoure. Etant donné son jeune âge et ses antécédents de garçon paisible, on ne peut pas encore bien déterminé s’il s’agit d’une évolution de son caractère ou d’une phase transitoire de mal être et d’affirmation de soi. Un genre crise de la vingtaine : le moment terrible où nous sommes tous sensés devenir adultes.
Jonas supporte peu le comportement des gens qu’il ne connait pas très bien mais a, sans l’avouer, terriblement peur d’être seul. En effet de tous les enfants qu’il connait, il est le seul à avoir encore ses deux parents et crains de les perdre. Il s’arrangera alors toujours pour être entouré l’air de rien et voudra à tout prix faire croire aux autres que c’est eux qui ont besoin de lui et non l’inverse. Au final il se révèle compliqué à vivre; il alterne entre les moments de calme plat où il déteste être secoué et les moment d’intense agitation où il bouge tout le monde. Ayant toujours vécut sur son bateau et habitué à son univers retreint : la mer, son équipage et son draco. Il a beaucoup de mal à faire attention aux autres et surtout à les comprendre. Histoire Racontez la vie de votre personnage ici. Qu'a-t-il fait ? Comment est-il arrivé à Mhyone ? Tout ça quoi !
1er Janvier 1995 : Je suis né à Nénucrique, mais j’aurai vu le jour à bord du Black Calico si un Dracolosse n’avait pas porté ma mère en urgence jusqu’à la rive. Le Calico est un navire marchand, enfin il l’était jusqu’à ce que mon père, son héritier légitime le « reprenne en main ». Et oui, les mers ne sont pas vraiment sûres, entre autre, les pirates existent toujours. Nous ne sommes pas les plus violents dans notre genre, lorsqu’on en croise d’autres « marins », là, ça bastonne dur, mais généralement nous ne faisons que menacer quelques plaisanciers ou vider des conténaires : On laisse le navire loin, et on arrive à dos de Pokémons il n’a jamais été découvert. Cela ressemble ne ressemble plus vraiment la grande piraterie d’antan, mais vivre avec son temps est une nécessité primordiale à la survie. De plus, nous avons une certaine prestance. Puis, nous sommes riches. Enfant, j’étais mauvais, je n’aimais pas vraiment le concept de voler je détestais me battre. Mais maintenant c’est ma vie, mon essentiel, c’est la seule chose que je sais faire et j’excelle en la matière. D’après mon père, il faut se faire un devoir de faire profiter aux autres ce en quoi on excelle.
1er Janvier 2002 : Pour mon anniversaire nous sommes allé sur terre, dans la pension pokémon de kalos et en quelques minutes j’avais un minidraco dans les bras. Je l’ai appellé Ikoo, dans la langue maternelle de ma mère, ça veut dire ami.
2 avril 2008 : Un frère J’ai été élevé avec quatre autres enfants, Aplane, mon meilleur ami, fils de deux membres de l’équipage et deux filles, mais c’est nul les filles. Tous les orphelins deviennent les enfants du capitaine et le 24 octobre 2004, mon meilleur ami, est devenu mon frère de sang.
14 aout 2012 : Evangeline Evangéline c’est la fille du contremaitre, on se n’est jamais entendu mais les vieux disais toujours qu’on finirait ensemble, des vieux en somme. Enfin, on se déteste mais on travail en équipe lors des combats contres des marins concurrents. Alors qu’on se battait contre les gars du Red Dragon, on a voulu les prendre par revers, Evangeline et moi. Mon pokémon a fait un trou dans la coque, nous avons sauté dans la cale, puis nous sommes remonté vers le pont arrière et j’ai assommé le premier, les autres ont été surpris mais n’ont pas perdu leurs réflexes pour autant. En une seconde j’étais à terre, une douleur mordante dans le ventre. Le monde va vite dans ces moments là, Evy a crié je l’ai vue me regarder mais je n’ai pu la rassurer, je tentais compresser ma plaie, mais je tremblais et penché pour arracher ma manche histoire de me faire un garrot, je tombai en avant, au milieu de la mêlée. Evy hurla de nouveau de rage puis de douleur. Elle tomba sur moi, je senti mon corps se tendre, se tordre, la douleur disparut je me relevais et frappais le marin, mon pokémon s’enroula autour de moi et me fit tomber en arrière, j’eu très mal à nouveau et senti un nouveau coup de couteau, dans les côtes cette fois. Je touchai mon flan, rien, c’était Ikoo qui était touché et son étau autour de moi se desserra d’un coup. Un pokémon sauta sur Evangeline, la douleur m’empêcha de me lever je lançais mon couteau sur l’animal de feu, qui s’écroula au sol. Lorsque je me réveillai nous étions à terre, à l’hôpital. Nous n’allons jamais à l’hopitâl. Enfin la personne avec moi dans la chambre n’étais pas Evy, je ne la connaissais pas, j’ai très peur. Je ne reconnaissais rien. Après plusieurs jours d’enfe, je pu enfin sortir de l’hopital, en boitant à moitié. Ikoo ondulait à mes côtés, soutenant mon poid et enfin, enfin je pus voir Evangeline. Mais le Pokémon qui lui avait sauté dessus lui avait brûlé le visage. « Ma vie est fichue je suis un monstre. » Je n’ai pas répondu, moi à cet instant, je me suis rendu compte que je l’avais toujours trouvée sublime.
20 novembre 2014 : Evangeline est tombée amoureuse d’Aplane.
14 décembre 2014 : J’ai réussi ma première mission solo. De mousse, je passe au stade de marin. Peut-être que l’année prochaine, je pourrais candidater pour remplacer le vieux Shintao comme contremaître.
20 juin 2015 : Alors que nous fêtions l’été mon père a fait la grande annonce d’une vie. Pour sa retraite dans deux ans, il offrirait le commandement de son navire à son fils ainé. Aplane a six mois de plus que moi. Est-ce possible de détester un allié, un ami, un frère à ce point ? Détester voir bien pire.
28 décembre 2016 : Mon père faisait partie d’un cercle dont il ne parlait pas beaucoup, seul son héritier pourrait être au courant, ainsi il se barrait souvent, laissant ma mère aux ordres (d’ailleurs la vie était beaucoup moins marrante dans ces moments là). Il disparaissait des fois plusieurs jours voir des semaines, ce n’était pas inquiétant. Mais une fois il mit un peu plus de temps à revenir et on se fit attaquer. Ça s’est mal passé, le bateau, son bateau a été coulé, nous avons tous été séparés. Ce sont mes Pokémon, Mon Draco et un magicarpe qui m’ont porté jusqu’à la rive. Je ne sais pas ce que sont devenu les autres mais je ne m’inquiète pas pour eux. Ce n’est pas possible qu’il soit arrivé quelque-chose à ma mère, elle n’aurait pas vécut ses cinquante-cinq ans si elle n’avait pas été invincible. Non, je m’inquiète pour mon père, et puis, si jamais c’est moi qui le retrouve je serai héros et je deviendrai capitaine. Il reconnaitra bien que son vrai sang, c’est moi, et ne pourra pas laisser le navire à l’autre.
7 janvier 2017 : Cela fait une semaine que j’arpente les rives où j’ai échoué. Je ne trouve pas de trace de mon draco, Sybellius, mon magicarpe de son côté fouille les eaux peu profondes. Nous savons tous les deux qu’Ikoo ne serait pas parti sans moi. Quand j’interroge Sybellius sur son sort, il me regarde avec ses yeux vide et refuse de me répondre. Les magicarpes sont généralement silencieux mais lui, c’est le pire de tous. Il s’agite quand je l’attrape, lui serre un peu le cou, je m’énerve, je lui hurle dessus. Je veux juste savoir si je vais retrouver mon compagnon de toujours. Mais Sybllius ne dit rien, je ne sais pas pourquoi, cela peut vouloir tout dire et rien dire à la fois, si ça se trouve il ne sait pas. Je ne dois pas céder au désespoir
8 janvier 2017 : J’ai essayé de voler de l’argent mais je me suis fait chopper. J’ai fait les poches d’un flic, quel abruti. J’ai passé une nuit en détention provisoire, mais suite à une bagarre toutes les cellules ont été remplies par des mecs beaucoup plus dangereux que moi. Le flic que j’avais détroussé m’a laissé repartir, mettant sur mon dossier que j’avais été interné pour ivresse sur la voie publique. Il va falloir que je me calme un peu, je risque gros à voler ici. « Syb, il faudrait qu’on parte, je vais devenir fou si je reste ici. » Mais je voyais bien que Sybellius ne voulait pas partir, cela me donna du courage pour recommencer à chercher mon Draco.
11 janvier 2017 : Je n’ai pas trouvé de moyen de récupérer d’argent, je vais devoir quitter la rive immédiate et m’enfoncer plus dans les terres, dans les endroits reculés où je pourrais plus facilement voler voir éventuellement gagner de l’argent. Mon père était originaire d’Hoenn, je suis sûr que c’est là-bas que je retrouverai sa trace : je dois gagner de l’argent pour payer un ferry jusque-là bas. Je pris ma pokéball et le magicarpe refusa de rentrer. Je le pris alors dans mes bras. Il se laissa faire sans réagir. J’entendis sa respiration s’accélérer. L’air libre le faisait souffrir. Je fis demi-tour et le remis dans l’eau. Un voile de panique me saisit, je le sentai glisser sur mon dos et me serrer la poitrine, les côtes, un sanglot s’ettoufa au plus profond de moi. Je me sentais seul. « Je sais que ce n’est pas de ta faute si tu ne peux pas venir. » mes mots se serraient dans ma gorge « je ne t’en veux pas ». « Tu vas le chercher alors ? » Le pokémon acquiesça et continua de me fixer. Il attendait que ce soit moi qui parte. Je me levai alors, le monde entier pesait sur mes épaules. Pour la première fois depuis longtemps, Evangeline me manquait atrocement. J’arrivai à l’orée de la forêt. Je distinguai l’ombre noire du corps de Sybellius au loin. Je dépassai les premiers arbres. Non ! Je fis demi tour et courrait jusqu’à la plage. Biensûr, il n’était plus là.
J’étais à nouveau dans la forêt mais ne pouvait faire un pas de plus, je pleurais et m’effondrai contre un arbre. Ils me manquaient tous maintenant, j’ai peur qu’il leur soit arrivé quelque-chose. Des bruits légers attirèrent mon attention. Un petit pokémon poilu, l’air innofensif fouissait le sol. Je m’aperçu que j’étais affamé. Je m’approchai doucement de l’animal, l’air le plus serein possible, il leva les yeux vers moi. Il était incrédule. Je fermai les yeux, les rouvris, l’animal était tétanisé de peur. Au dernier moment je me retournai. Un grahyena nous fixait tous les deux, surtout le petit pokémon en véritait. Non, il ne l’aurait pas. Je m’interposai entre les deux et sorti ma lame. Le pokémon hurla, je sursautai et reculai. Il découvre d’avantage ses crocs et s’avança vers moi sans hésiter dorénavant. « Attaque morsure ! » Un autre pokémon déboula de nulle part et agressa le grahyena, ils se battirent et finalement l’énorme pokémon noir s’enfui dans les bois. « c’est ça ton pokémon ? Tu vas pas aller bien loin » me dit mon sauveur - de quoi je me mèle ! » grognai-je, furieux de lui être redevable - Tu devrais aller en ville, on va t’en donner un. C’est dangereux ici. - N’importe quoi ! Je l’aurai buté si tu m’en avais laissé le temps . Tiens pour ta peine ! » je vidai mes poches de tout ce qu’il me restait, au fond je devais lui devoir plus mais je ne peux pas plus. « maintenant laisse moi, je me barre avec mon pokémon et il est parfaitement valable ! Allez vient mon pote » j’attrapai le petit pokémon sous le bras. « C’est une femelle hein tu sais ? - QUE – DALLE ! » Articulai-je en partant le plus vite possible.
Une fois éloigné je reposai le petit machin et me dirigea vers la ville. Les petits bruits légers me suivirent. Je regardai le pokémon, à quelques mètres de moi. Il avait eu vingt fois le temps de fuir tout à l’heure et ne l’avait pas fait. Je n’ai pas le droit de dire qu’il ne vaut rien. « Tu veux me venir avec moi ? Très bien, c’est ton problème. » Et chemin faisant, nous arrivâmes à Nox Illumen IRL Surnom : J’en ai pas encore Âge : 22 Comment as-tu découvert le forum ?Quelque chose à ajouter ? Est ce que quelqu'un accepterait de redimensionner cette photo pour m'en faire un avatar svp? (ça plante totalement mon ordi quand je le fait). Merci beaucoup beaucoup d'avance ^^ (Les crédits sont " Solid ect" ) Image iciJe vais sans doute galérer un peu avec ce perso car j’ai l’habitude d’avoir des perso très solaires et déconneurs. Donc ne vous inquietez pas si les rps sont un peu strange au début. Aussi comme je ne veux surtout pas retomber dans mes perso habituels je vais tirer aux dés ses réactions lors de nos premiers rps. Voilà voilà, sinon j’ai super hâte de rp avec vous | |
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