Pokemon Mhyone
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 Nouvelle aube d'une nuit sans fin

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2 participants
AuteurMessage
Lemee Kuromyne

Lemee Kuromyne


Région d'origine : Rhode
Messages : 15

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MessageSujet: Nouvelle aube d'une nuit sans fin   Nouvelle aube d'une nuit sans fin EmptyJeu 27 Avr 2017 - 2:20

Nouvelle aube d'une nuit sans fin 7517

Kuromyne Lemee



Surnom : Silhe
Espèce : Sentiment
Nature : Brave
Détails : Il aime imité constamment son dresseur, ce qui fait sourire Lemee, et rend Silhe heureux. Il lui arrive de frissonner lorsqu'il pressent un danger. Porte autour du cou un bois bien sculpté composé d'un rubis et d'un saphir.
identité
irl


Nom : Kuromyne
Prénom : Lemee
Âge : 17 Ans
Région d'origine : Rhodes
Groupe du Poryweb : Les runes de Feunard
Archétype : Combattif
Feat : Kurogane Ouma

Surnom : Tsu'
Âge : 20 Ans
Comment avez-vous découvert le forum ? Via des amis ( Daïs, Tohkami, Whyzz, Vixion...)

Autre chose ? J'adore le chocolat chaud...Non, en fait très chaud. Vraiment très chaud. Oh, oh, et avec, du bacon :3
psychologie & physique

Lemee parait plus âgé qu'il ne l'est, du haut de ses 1m82 à l'âge de 17 ans, on le prend souvent plus proche des 25 ans que de la vingtaine dû à sa cicatrice partant du haut du milieu de son front, traversant l'œil droit qui n'a pas de dégât, et terminant juste en dessous de celui-ci, à quelques centimètres. Il a des cheveux noirs mi-longs, dont il ne fait pas attention ce qui les laisse dans un état négligé. Ses cheveux sont souvent rentrés dans un pelage doux et mal entretenu, au niveau du dos, dans son cou. Il porte une  faite de fourrure et de métal léger, dont les couleurs varient de la pointe noir des poils, au rouge du métal léger jusqu’à l'épaisse roselet marronnâtes sous ses bras. Cette peau garde entre elle, et les bras, deux tonfas. Lemee arbore toujours un sourire, qu'il pense ou qu'il s’entraîne, il adore ce qu'il fait, et cela le rend très souvent heureux. A la fois introspectif, combatif, jovial, il préfère une expression faciale à de longues paroles, ce qui est un bon point, au vue de ses maladresses lorsqu'il parle. Il s’entraîne souvent dans son petit jardin, avec ses tonfas où il adore suer jusqu'a épuisement, souvent couché dans l'herbe, où il rit de bon cœur, semblant avoir encore de l'énergie pour. Ne pensant qu'à l'instant présent, il prend le temps de réfléchir à sa situation actuelle, sans jamais penser à son futur et aux lendemains.  


N'ayant que faire des alentours, lorsqu'il marche ou attend, il réfléchit le plus souvent sur ses technique de combat, ou bien... à son combat contre Silena. Lemee ne parle pas beaucoup, mais est très expressif, que l'on le salue, lui parle, ou regarde, il affiche toujours un sourire, qui répond généralement à son interlocuteur, qu'il ne comprenne ou non... Il adore être présent, chaque jour devant l'aube, se rappelant ainsi de nombreux souvenirs passés, avant de s’entraîner dés que le soleil s'est complètement levé. Pour autant, il n'en oublie pas l'apprentissage autour des Pokémons, et tente de se renseigné la ou il le peut.  


Lemee a le cœur solide, et un esprit qui serait imagé par un feu vigoureux et combatif. Il accepte toujours les défis, même s'il sait qu'il n'en sortira jamais vainqueur, chaque expérience est bonne à prendre. Lorsqu'il est dérangé par une situation, pris au dépourvu, ou bien rarement timide, il se met à toucher sa cicatrice de haut en bas, pouvant même le faire paniquer s'il ne trouve pas d'échappatoire ou si on ne l'aide pas.
histoire


Je suis l'esprit, mes tonfas sont mes armes, Silhe est mon cœur, et le monde un défi.


Ma marche vers le coeur de la ville se terminait une nouvelle fois. Le dimanche, un marché était donné au cœur de la ville de Rhode. Toutes les saveurs de la région, les couleurs et les tissus, ainsi que les diverses personnalités, venaient s'y rencontrer.

Le marché envoûtait toujours mes sens. Peu importe les saisons, j'adorais aider à son installation et son bon déroulement. Cela faisait plusieurs heures que nous installions les diverses marchandises, allant d'épices  - à des baies plus étranges les unes que les autres aux vêtements d'été tendance de la saison. Des lanternes éclairaient  notre petit marché, entouré de l'obscurité du matin. Petit à petit, la place abondait de marchandises, que le soleil réfléchissait de ses premiers lueurs rougeâtres. Le dimanche, habillée d'un élégant chapeau vert clair et d'une robe noir très sombre, qui terminait par terre, en plusieurs bribes de tissus, suivant la course du vent. Il était coutume pour Dame Cathéline, de s'y rendre, et d'acheter une pomme - qu'elle ne mangeait jamais - puis de faire le tour du marché sans rien acheter d'autre. Elle était jeune, a peine 18 ans que dit père. Mais c'était la propriétaire de la boutique de breloques où ma mère travaillait, pourtant elle ne parle jamais d'elle. Tandis que je l'observais timidement, me demandant bien ce que je pouvais lui dire une fois qu'elle passerait par ici, Seline, la fille du vieux commissaire Rhydes, arriva subitement devant le comptoir, et me brusqua avec ses questions sans gêne.

 - Alors avorton, ça donne quoi ton entrainement ?Fit-elle, avec un léger mépris

Je fis mine de n'avoir rien entendu, et lui souris pour lui souhaiter une bonne journée, qu'elle ne comprit d'ailleurs.

 - Tu sais, il y a deux jours, j'ai complètement coupé l'arbre sur lequel je m’entraînais. C'est le deuxième. Il faut dire qu'avec ma force et ma dextérité, ils ne tiennent pas longtemps. En plus, mon père, Rhydes, que tu connais forcément a - …

Elle était là, agitant ses bras pour battre le vent et continua ainsi durant de longues minutes, parlant une nouvelle fois de ses talents, de son père et de ses arrestations de la team ombre, et encore de ses talents. Pardon, de ses talents innés d'après elle.

M
ais c'est vrai, à force d'en parler, j'avais hâte d'aller m’entraîner moi aussi avec mes tonfas. Seline m'y avait initié il y a quelques mois, depuis, je n'ai pas raté un seul jour d'entrainement. C'était mon seul plaisir, les seules fois où j'étais presque en euphorie tant remplie de joie, mon corps frappant l'ancien arbre de mon jardin. D'ailleurs, cela me rappela ma séance d'hier. Tandis que le soleil offrait ses dernières lueurs, une petite ombre se cacha derrière un arbre près de la forêt, non loin de mon jardin. Ce n'était pas la première fois, et elle ne venait que lorsque je m’entraînais. Malheureusement, à chaque fois que je tentais de l'approcher, elle disparaissait dans les bois.  

Une pichenette de Seline me ramena au marché, où elle semblait contrariée de ne pas l'avoir écoutée. Après d'autres vaines paroles, elle passa son chemin. Sourire à son départ serait malpoli, mais au final, je n'ai pu m'en empêcher.

Le marché abondait de plus de plus de monde, tandis que Dame Cathéline continuait sans presse sa visite des différents stands. La femme que j'aidais ce dimanche-là, était tantôt absente, tantôt présente, ne sachant où donner de la tête tant les clients affluaient pour ses écharpes pour Pokémon spécial été. Les ventes furent rapides, et il n'était que 9 heure lorsque notre maigre stand était déjà vide. A ce même moment, Dame Cathéline passa devant. Ses longs cheveux de blé, réfléchis par le soleil, éblouissaient le reste de ma vue, et bien que cet instant fut bref, il me parut une éternité. Notre stand ne valait plus le coup d'œil étant vide, elle n'est donc pas venue me voir – nous voir, pour les écharpes.  

Ma tache était terminée. Refusant une nouvelle fois l'argent que l'on me proposa pour l'aide apportée, je passai un rapide bonjour à ma mère à la boutique, profitant de l'absence de Dame Cathéline, puis pris la direction de la maison.

Verte, vieille et volatile, la peinture de notre maison n'avait jamais été refaite. Père, comme il aime que je l'appelle, devait la faire à la naissance d'Elise, ma sœur, dont elle, n'a pas besoin de le nommer ainsi. Père était encore devant la télé. Ma mère était très travailleuse, et mon père, son Némésis. Interviews, informations, et spectacles, étaient appréciés de père - depuis son canapé de luxe - qui ne loupait rien. Un rapide bonjour de la main pour père, une étreinte avec ma sœur, et je pris avec pétulance mes tonfas pour une nouvelle séance. Traversant une nouvelle fois le salon où siégeait père et sa télévision, je vis quelques pokéballs sur l'étagère au dessus de lui. Il y en avait cinq a la base. Père dit en avoir perdue une, j'ai des doutes. Tandis que ma sœur Elise, de quelques années de moins que moi, en a déjà utilisées deux. Et cela, pour deux Pokémon qu'elle eut du premier coup. Maman dit qu'il serait temps. Mais je ne sais pas qui je veux, et je suis bien assez occupé pour le moment.


L'air frais du matin était toujours présent, revigorant mes muscles et mon esprit. Je ne pensais à rien d'autre lorsque je frappais l'arbre, et ne cessais de me dire : Un, deux, un, deux, dans ma tête afin de rester concentré. J'étais toujours très heureux lors de mon entrainement, je souriais sans m'arrêter. L'écorce était dure, et seules quelques bribes de bois tombaient à chaque coup, dont je sentais les vibrations le long de mes bras via mes tonfas. L'écho des frappes entre bois faisait office de musique pour mes oreilles. Aujourd'hui encore, je remarquai l'ombre derrière un des arbres de l'abondante foret. Je jetais souvent un œil, pour savoir si elle était toujours là. L'ombre était humanoïde, et j'avais déjà aperçu des cornes rouges au sommet de la forme. Son apparition, il me semble, remonte quelques jours après mes débuts aux tonfas. J'ai toujours pensé que c'était Seline, mais elle est pourtant plus grande... mais des cornes rouges lui iraient très bien.  

Cette vision me fit rire, interrompant mes coups dans l'écorce. Lorsque, sur le coin de l'œil, je vis cette forme, à coté de moi, agitant les bras. C'était un Tarsal, un petit Tarsal avec des cornes rouges, il agitait les bras d'avant en arrière, et visait l'horizon, comme pour imiter mes gestes. Interrogatif sur la scène qui se déroulait sous mes yeux, le Tarsal s'arrêta net, trembla légèrement avant de courir vers la forêt ; l'interrogation me laissant sur place.


Cela faisait maintenant quelques semaines que Tarsal se joignait a moi lorsque je m’entraînais. Il tentait de m'imiter, vainement, avant de tomber de fatigue et de me regarder. De temps à autres, quand il agitait les bras, je tentais de lui faire comprendre d'utilisé son esprit au lieu de ses poings, mais il n'a de cesse que d'essayer. L'on mangeait souvent ensemble dehors le soir dorénavant, avec le difficile consentement de père. Elise a de nombreuses fois tenté de l'approcher, mais avec son excentricité, cela a toujours mené a l'apeurement de Tarsal, et de sa fuite.


Il est tard, et je suis allongé la, exténué par mon entrainement de quelques heures. Tarsal, me regardait au dessus de moi, et bougeait la tête de droite a gauche. Au dessus de lui, les nuages noirs recouvraient le ciel abandonné du soleil, et quelques gouttes d'eau commençaient à en tomber. Tarsal fut surpris, puis se mit a trembler de peur, comme pour annoncer un mauvais présage.  

 - Lemee ! Entendis-je depuis la maison Rentre tout de suite ! Ton père est là !

M
on père ne se déplace jamais, sauf pour faire la causette avec Rhydes, ils sont très complices depuis leurs enfance de ce que j'ai compris de leurs histoires. Demandant à Tarsal d'attendre ici, j'entrai dans la maison, où ma mère, père et ma sœur m'attendaient, bagages empoignés.

 - Que se passe-t-il ? Demandai-je, surpris par la vue de toutes ces affaires

 - Fils, prépare tes affaires, tu as cinq minutes, nous partons. Fit mon père, d'une voix nouée et tremblante Prends cette sacoche à lanière, mets-y ce que tu veux, et dis au revoir au reste.

 - Comment ça ? Nous partons ou ? Que se pass-

 - Fais ce que dit ton père Fit maman, m'interrompant dans mes inquiétudes

Mon père suait plus qu'à son habitude de paresseux rondelet, et ma mère faisait les cent pas tout en dévorant ce qui lui restait d'ongles, sans hésiter alors, je pris la petite sacoche de père, et y mis quelques vivres secs, des vêtements d'un jour, et mes tonfas. Ensuite, je m'habillai de ma tenue en fourrure et en métal, que père m'avait achetée quelques jours avant son canapé de luxe. Il lui restait de l'argent sur son coupon m'a-t-il dit. Le temps de mes divagations d'esprit, j'entendis la porte d'entrée se refermer. Par la fenêtre, je vis trois personnes, en face de ma famille; ils avaient l'air aussi menaçants que les noirs nuages dans le ciel. Je ne savais pas quoi faire, et en dépit de ma faible expérience martialle, je ne saurais les aider, que veulent-ils, que se passe-t-il... Toutes ces questions me traversaient l'esprit.

J'entendis alors une voix, venant de nul de part, d'aucune direction – d'aucun lieu. Elle était dans ma tête, et de nulle part ailleurs : Derrière, nous devons partir. Fit la voix. Mon cœur battait plus rapidement que lors des entraînements, et mon esprit était troublé par la situation. Sans doute apeuré, je pris la porte de derrière pour suivre les dires de la voix. Je vis Tarsal, me tendant le bras. Je fis quelques pas pour le rejoindre, avant d'être interrompu par une silhouette, à l'armure semblable aux hommes de l'autre coté. L'armure de la team ombre. Pourtant, le visage m'était familier, je ne saurais dire qui cel -

 - Alors tu te montres enfin ? Et par derrière en plus ? Quel lâche. Décidément Kuromyne, tu n'es bon à rien. Fit la silhouette, d'une voix arrogante Cela ne me surprend pas, je l'ai su dès que je t'ai vu la première fois. Moi, lorsque l'on me regarde, il est évident que...

T
andis qu'elle continuait de parler, je pris le temps d'identifier ce timbre de voix, cette arrogance, je connaissais ; Seline. Les questions à son propos et sur la situation étaient nombreuses dans mon esprit, avant de répondre par non-choix :

 - Tu es avec eux Seline, je me demande comment cela a pu arr -

 - Ne te pose pas de vaines questions avorton, tu n'auras pas le temps d'en écouter les réponses ! Fit-elle, le son de sa voix montant petit à petit au fur et à mesure qu'elle parlait

Au même moment, elle sortit ses tonfas, et courut rapidement vers moi afin de lancer un assaut frontal. De justesse, je fis une esquive, sans doute plus par adrénaline que par réflexe.    

Je me retrouvai les fesses a terre, comme cette fois, il y a une semaine.... J'avais pris mon courage à deux mains, ou plutôt, mon imbécilité, et étais allé au marché avec un cadeau pour Dame Cathéline. J'avais demandé à aider l'un des premiers stands de la file, afin de ne pas tarder à l'offrir à Dame Cathéline. Les heures passaient, les clients affluaient, et les marchandises se vendaient, mais Dame Cathéline n'était toujours pas arrivée, c'était la première fois qu'elle n'était pas venue. Abandonnant au grand désarroi le petit homme à ses clients, je me rendis à la boutique dont est propriétaire Dame Cathéline. Ma mère me fit un bonjour réjoui et dynamique, avant de me montrer la direction où se trouvait Dame Cathéline. Lisait-elle dans mes pensées ? Ou bien, me connait-elle bien...  

J'ouvris la porte du magasin, pris la direction montrée par ma mère et y rencontrai dame Cathéline. Assise sur une chaise rouge à l'allure confortable, contemplant une chrysanthème fanée. La boutique était déserte, l'ambiance silencieuse, et l'air étouffant au fur et à mesure que je m'approchais de Dame Cathéline. Tellement il eut de mots qui voulaient sortir de ma bouche, qu'aucun ne fit de son. Rapidement alors, je tendis mon cadeau, qui contenait un bois incrusté de petits dessins, d'un rubis, et d'un saphir, maladroitement; et fermai les yeux par stress. Dame Cathéline leva la tête, et regarda la contenant de la boite depuis mes mains. D'un geste, sa main de velours heurta les miennes, et non sans force, me mit cul-a-terre, l'objet volant au loin dans la boutique. Elle avais refusé...



On dirait la même nuit, avec une aube différente...  



L'air était glaçant pour un été, et les quelques gouttes s'étaient tranformé en une vrai pluie d'eau, gelant jusqu'aux os. La terre boueuse sous mes fesses me faisait légèrement glisser dans toutes les directions. Sur le qui-vive, je m'empressai de prendre mes tonfa dans ma sacoche, les armai, me relevai, et pris position pour me défendre de Seline. Elle feinta d'aller a gauche, pour finalement attaquer de droite. Je réussis à parer de justesse le premier coup, lorsque je vis une lame, au lieu du bois, planté dans mon tonfa. Un autre coup s'en suivit alors rapidement, n'ayant eu le temps que de tourner la tête. A cet instant, sa lame cachait partiellement la lune, réfléchissant le métal froid et sans vie. Il me coupa du front jusqu’à l'œil. La douleur me prit horriblement, la vue était floue  mais mes yeux eux étaient intacts; Ce ne sont pas eux, c'est mon esprit. J'étais apeuré, acculé. Elle a plus d'expérience que moi, et utilise des lames... Qu'y-puis je ?...  Je... L'air froid et gelé, combiné à la pluie sans fin traversait mon corps de long en large, tandis que le sol se rapprochait subitement de moi. Cette herbe qui tentait de résister au vent, ces gouttes giclant sur le sol, ces bouts de bois de mes entrainements - Ce ne fut qu'un instant, qui prit une éternité - Je pris de plein fouet une épaisse couche de boue couché au sol. J'entendis, des cris aigus et stridents, la voix ma sœur, qui avait coupé court au brouhaha de la pluie battante.







 - Mes souvenirs sont flous à partir d'ici capitaine.

 - Je vois Fit-un homme rasé de près, pourtant vieux Je suis bien triste de ce que t'arrive mon garçon.  

 - Vous ne sauriez pas par hasard...

 - Ça va pas être gratuit, tu sais Ajouta-t-il avant la fin de ma question

 - Comment ça ? C'est que je ne...

 - On a toujours besoin de plongeur, ne t'en fais pas ! Rit le capitaine, tapotant mon dos

D'un geste de la tête, et d'une simple expression, j'acquiesçai à la demande du Capitaine.

 - Une jeune femme, avec un grand chapeau et une longue robe t'a amené ici, avec une gamine pas plus haute que toi. M'a dit que c'était un Tarsal qui l'avait prévenue. Pas compris ce qu'elle disait en fait. Elle a payé si cher, que même en restant une vie à voyager sur ce bateau, ça ne les vaudrait pas !

 - Une fille ? …. Et un Tarsal ? Où sont-ils ? Fis-je, perdu entre les dires du capitaine

 - Ah, j'ai bien peur que tu te sois réveillé trop tard mon garçon, la p'tite est plus la. On la déposée au dernier port, un gars à moi l'a emmené a l'hôpital.

L
e dernier port, c'était celui de Mhyone, plus précisément de Bord-Au-Vent. Moi qui n'ai jamais voyagé autre part qu'au sein de ma région...

 - Et concernant le Tarsal ?

 - T'es pas un futé toi hein ? Il était dans ta chambre. Il nous a rejoints juste avant que l'on quitte de port de Rhode. Depuis, y t'a pas lâché ton Pokémon.

Mon Pokémon ? Bien que l'on se soit côtoyés durant des mois, je ne le connais pas du tout...

J'avais peine à comprendre ce qui m'arrivait, et me remémorer tout cela me donnait un mal de tête toujours plus puissant... De plus, cette blessure au visage me lançait de temps en temps, je pense avoir une vilaine balafre une fois soigné soupirais-je. Le trajet sera long avant de rejoindre de nouveau les côtes de Mhyone. Je dois devenir plus fort – Tarsal doit devenir plus fort- nous devons devenir plus forts.
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Shinichi Kirisaga

Shinichi Kirisaga


Région d'origine : Hoenn
Messages : 538

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MessageSujet: Re: Nouvelle aube d'une nuit sans fin   Nouvelle aube d'une nuit sans fin EmptyJeu 27 Avr 2017 - 18:40

Bienvenue sur Mhyone !


Salut !
Tout est okay, fais attention tout de même, il y a pas mal de fautes de conjugaison.
Tu es dès à présent validé ! Nous espérons que tu t'amuseras sur Mhyone RPG. Si tu as la moindre question, n'hésite pas à aller en poser dans la partie Question & Suggestions. Tu peux regarder les nouveautés pour connaître les événements en cours. Nous t'invitons à créer un sujet dans les T-Card pour regrouper toutes les informations nécessaires à ton voyage. Tu as désormais dans ton inventaire 3 Pokéballs et un starter.

Tu peux demander un RP ici, ou nous rejoindre sur Discord !
Bon jeu !
 
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